Selon les conseils des parties civiles, les deux jeunes filles ont regretté les faits d’avoir ôté la vie au garçon I.K. La conductrice, étudiante en auto-école, était en manœuvre à la Médina. En faisant marche arrière, elle a tué un garçon de 2 ans. « Le père de la victime, endeuillé, s’est remis à la fatalité divine et n’a pas porté plainte », a expliqué Me Amadou Sall son avocat.
S’inclinant devant la mémoire du garçon de deux ans, le ministère public s’est opposé à la demande de liberté provisoire formulée par les conseils de la partie civile. Du fait de la gravité des faits avec la perte de vie humaine, le tribunal a rejeté la demande de liberté provisoire. L’affaire est renvoyée au 23 novembre prochain.