À l’origine de ces affrontements, les villageois accusent le PDG du Groupe SEDIMA de vouloir faire main basse sur presque 75 hectares de leurs terres pour y développer un projet « agrobusiness». Ces derniers se seraient rendus aux champs pour effectuer le travail de désherbage mais l’accès leur aurait été interdit par les agents de sécurité déployés sur les lieux par le patron de la SEDIMA.