Aucun survivant, ont annoncé les services de secours. Un tel accident, dans une telle situation, avec toutes ses implications, suscitent mille et une interrogations. Mille doutes comme c’est souvent le cas chez Poutine habitué des expéditions punitives, des coups foirés, des coups superbement réussis. L’Amérique la puissante rivale persiste dans le doute. Elle accuse presque ouvertement Poutine d’avoir organisé l’assassinat de son « frère » devenu ennemi. Le patron de la société de sécurité Wagner n’avait-il pas signé son certificat de mort quand, il y a deux mois, en pleine guerre russo-ukrainienne, il a osé lui et une bonne partie de ses troupes, se diriger vers le Kremlin.
Une révolte qui a fait long feu. Une révolte qui lui est fatale. Les Usa qui disent qu’ils n’ont pas été surpris du sort de Prigojine ne font que renforcer leur conviction contre la Russie. Vue d’Afrique, cette actualité ne passe pas inaperçue. Le groupe paramilitaire privé Wagner est si connu au Mali et en Centrafrique notamment. Il a un envers et un revers.