Le gendarme s'est donné la mort depuis le Vendredi dernier. Mais, l'information a été rendue publique par les Echos dans sa livraison du jour qui est revenu sur la lettre laissée par le défunt et les indices.
La Gendarmerie nationale est secouée par le suicide d'un des ses éléments du nom de Ibert Faye depuis ce vendredi .
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D'après le journal, le gendarme s'appelait Ibert Faye, célibataire sans enfants et logeait au quartier Sope Naby sis à Tivaouane Peul. D'après Les Échos, la victime avait demandé à sa cousine de passer dans son appartement en lui indiquant la chambre où elle devra le retrouver et en suggérant qu’il a laissé une note importante dans un tiroir.
Ne se doutant de rien, la cousine d'Iber Faye, s'est rendue sur les lieux indiqués. Arrivée sur les lieux, elle se rend dans la pièce en question et tombe sur l’horreur. Le corps sans vie de Ibert Faye pendait dans le vide, à l’aide d’une corde attachée à son cou. Sur le coup, elle a crié de toutes ses forces et va ouvrir le tiroir dont lui avait parlé son cousin au téléphone.
Il s’agit, selon Les Échos, d’une lettre d’adieux dont le contenu n’est pas dévoilé. Le mobile du suicide n'est pas encore dévoilé mais d'après une source du journal, l'ex élément de la Gendarmerie souffrait d'une maladie qui l'obligeait à prendre chaque jour des médicaments pour pouvoir tenir debout. Et l'acte a été posé pour "abréger " ses souffrances.
