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Accusation de viol : Kabirou Mbodj blanchi

Kabirou Mbodj
Kabirou Mbodj

L'un des fondateurs du groupe Wari, fraîchement relâché par la justice française après des accusations de viol par deux Nigérianes et une marocaine, vient de remporter la dernière manche du procès pour des faits similaires l’opposant à Malaika Aïssatou Ndeye Amy Cissokho.  D'après Walf Quotidien, le journal rappelle que la plaignante l’avait accusé en 2018 de viol, dans les péripéties du rachat avorté de la filiale sénégalaise du groupe Milicom international cellular Tigo. 

Kabirou Mbodj a été définitivement acquitté le par la Cour suprême de Dakar. Dans la décision rendue le 21 décembre dernier, la juridiction a rejeté les pourvois formés par le Procureur général près la Cour d’Appel de Dakar et la plaignante, et confirmé la décision de non lieu rendue par la chambre d’accusation, souligne la source. 

Les faits se sont passés le 25 décembre 2017. Ce jour-là, accuse la nièce de Kabirou Mbodj, elle avait mangé avec son oncle en compagnie d’une de ses amies, B. Ndoye, dans un restaurant de la place. Après le dîner, le patron de Wari les a invitées à son appartement. C’est dans la cuisine que son oncle est venu pour se coller à elle et l’a plaqué au sol avant d’essayer d’abuser d’elle.

 L'homme d'affaires franco-sénégalais est également soupçonné d'avoir commis trois viols en France lors d'une même soirée et un quatrième plus tôt dans l'année. Il conteste ces accusations et se dit victime d’un complot et conteste systématiquement le bien-fondé. « Ce complot me cause énormément de tort.

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