Le candidat à la présidentielle Emmanuel Macron s’est récemment entretenu avec Le Point pour défendre à la fois son bilan et son programme. Le président sortant n’a pas hésité à pointer du doigt l’anonymat des réseaux sociaux.
Lors d'un entretien avec « Le Point », Emmanuel Macron a pointé du doigt l'anonymat des réseaux sociaux, affirmant qu'il faut « envisager le démantèlement de ceux qui sont en situation de monopole »
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Propices selon lui à la désinformation et à une certaine forme de violence, ces réseaux sociaux sont problématiques car omniprésents. C’est pourquoi le président de la République a affirmé qu’il ne fallait « pas hésiter à envisager le démantèlement de ceux qui sont en situation de monopole ». Sont directement visés les réseaux sociaux chinois et américains : TikTok, Facebook, WhatsApp et Instagram.
Souveraineté numérique
Au fil de cet entretien, Emmanuel Macron a par ailleurs déploré qu’aucun réseau social d’envergure ne soit français ou européen. Il a réaffirmé sa volonté de donner à la France les moyens d’acquérir sa propre souveraineté numérique dans les domaines des applications mobiles, du cloud, de la cybersécurité ou de la réalité virtuelle.
Lors d'un entretien avec « Le Point », Emmanuel Macron a pointé du doigt l'anonymat des réseaux sociaux, affirmant qu'il faut « envisager le démantèlement de ceux qui sont en situation de monopole »
Le candidat à la présidentielle Emmanuel Macron s’est récemment entretenu avec nos confrères du Point pour défendre à la fois son bilan et son programme. D’après l’article publié par l’hebdomadaire, ce mardi, le président sortant n’a pas hésité à pointer du doigt l’anonymat des réseaux sociaux.
Propices selon lui à la désinformation et à une certaine forme de violence, ces réseaux sociaux sont problématiques car omniprésents. C’est pourquoi le président de la République a affirmé qu’il ne fallait « pas hésiter à envisager le démantèlement de ceux qui sont en situation de monopole ». Sont directement visés les réseaux sociaux chinois et américains : TikTok, Facebook, WhatsApp et Instagram.
Souveraineté numérique
Au fil de cet entretien, Emmanuel Macron a par ailleurs déploré qu’aucun réseau social d’envergure ne soit français ou européen. Il a réaffirmé sa volonté de donner à la France les moyens d’acquérir sa propre souveraineté numérique dans les domaines des applications mobiles, du cloud, de la cybersécurité ou de la réalité virtuelle.
Un projet qui, s’il devait être engagé, ne verrait pas le jour sous le potentiel nouveau mandat d’Emmanuel Macron.