Les combats de lutte sont devenus des repaires d’agresseurs.
Les combats de lutte sont devenus des repaires d’agresseurs.
Image d'agresseurs
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Des agressions, des vols à l’arrachée ou encore des bagarres ont émaillé le combat de lutte opposant Siteu à Papa Sow hier dimanche. Dès la fin du combat, une foule immense infiltrée par des malfaiteurs a obligé les conducteurs à immobiliser leurs véhicules sur le bas-côté pour céder le passage au cortège de Siteu. L’image qui a choqué est celle d’un agresseur qui a arraché la perruque d’une passagère d’un bus Tata. Aux abords de l’arène nationale, sur les deux voies qui mènent vers le Technopole, des agresseurs ont pris pour cible des scootéristes. Ceux qui s’étaient attardés sur les lieux ont été attaqués, leurs engins emportés.
Sur la RN1, les agresseurs, divisés en plusieurs groupes, ont choisi de se fondre à Guinaw Rail, notamment aux abords du tunnel, pendant que les autres sont restés au rond-point Sips pour dépouiller les automobilistes. Les Parcelles assainies n’ont pas été épargnées.
Les forces de l’ordre ont dû utiliser des bâtons pour calmer l’ardeur des agresseurs. 54 parmi eux ont été interpellés, 42 motos immobilisés et des armes blanches ont été saisies.
