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À Thiaroye, l’intimité d’une jeune femme est devenue une arme de chantage. Selon les premières informations recueillies par le commissariat d’arrondissement, la victime aurait été filmée à son insu par son ex-compagnon lors de leur relation. Cette vidéo intime, initialement confidentielle, aurait ensuite circulé parmi un groupe d’amis proches de l’auteur.
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sextape
Le 10 juillet, l’affaire prend une tournure plus grave ; l’un des complices aurait contacté la jeune femme pour exiger des rapports sexuels, sous la menace de diffuser la vidéo. Un autre mis en cause aurait tenté une « médiation » douteuse, cherchant à monnayer le silence ou la suppression du contenu. Face à ces menaces psychologiques et sexuelles, la victime a décidé de porter plainte.
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Video sextape
L’intervention rapide de la police a permis l’arrestation de six personnes. Plusieurs téléphones portables ont été saisis, contenant non seulement la vidéo compromettante, mais aussi des messages, appels et preuves de coordination entre les suspects. Les individus interpellés ont été placés en garde à vue, et une enquête approfondie est en cours afin d’identifier tous les complices éventuels et de déterminer le rôle de chacun dans ce réseau de harcèlement numérique.
La Police nationale a profité de cette affaire pour rappeler l’importance de signaler tout acte de violence sexuelle ou numérique. Elle invite les victimes ou témoins à utiliser les numéros d’urgence (17 ou 800 00 12 12) pour alerter rapidement les autorités.