Voici le thé n°1 recommandé par les diététiciens pour maigrir du ventre

Selon l’Inserm, le syndrome métabolique se caractérise par un tour de taille important (supérieur à 94 cm pour les hommes et supérieur à 80 cm pour les femmes), associé à au moins deux des troubles suivants : une hyperglycémie, un taux de triglycérides élevé, un faible taux de bon cholestérol HDL, une tension artérielle très élevée.  

Ce syndrome n’est pas à prendre à la légère, puisqu’il peut augmenter, entre autres, les risques de maladies du cœur, de diabète, de maladies du foie ou du rein et d’apnée du sommeil. En plus de la prise de médicaments qui peut s’avérer nécessaire, le traitement de ce syndrome passe essentiellement par une alimentation saine pour le cœur et de l’activité physique régulière. 

Le thé vert, un coup de pouce précieux

Boire deux tasses par jour de thé vert peut aider à améliorer plusieurs marqueurs métaboliques. Interviewés par Eating Well, plusieurs diététiciens affirment que le thé vert pourrait agir sur plusieurs facteurs à l’origine du syndrome métabolique : 

 Amélioration de la sensibilité à l’insuline, grâce à une catéchine spécifique que le thé vert contient : la gallate d'épigallocatéchine (EGCG). « L'EGCG peut y parvenir en partie en améliorant l'absorption du glucose, ce qui permet à votre corps de réguler plus facilement la glycémie », explique Stacey Woodson, diététicienne agréée basée à Philadelphie.  

Réduction du cholestérol total, y compris le “mauvais” cholestérol (LDL). “Le thé vert a également montré qu'il améliorait les profils lipidiques, qui sont souvent dérégulés chez les personnes atteintes du syndrome métabolique”, explique la diététicienne agréée à Columbus Violeta Morris

Perte de poids

“Le thé vert peut vous aider à perdre du poids, en particulier au niveau de la région abdominale, ce qui est essentiel pour gérer le syndrome métabolique”, souligne Violeta Morris. En effet, une étude épidémiologique réalisée sur 10030 Coréens a révélé qu’une consommation régulière de thé vert était liée à un risque plus faible d’obésité abdominale, en particulier chez les femmes. 

Source : TOP SANTE