Face aux parlementaires réunis ce vendredi à l’Assemblée nationale, le Premier ministre n’a pas esquivé les questions portant sur l’affaire Abdourahmane Diouf. Avec un ton ferme, il a rappelé les fondements de l’action gouvernementale , une refondation morale de l’État et une tolérance zéro vis-à-vis de toute forme de prédation des ressources publiques.
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« Nous voulons amener le pays à un niveau où plus aucun responsable investi d’une mission publique n’aura le courage de toucher un seul franc du contribuable », a-t-il déclaré, soulignant que cette vision transcende les clivages politiques. Selon lui, il s’agit d’un retour aux valeurs républicaines essentielles, condition indispensable pour résoudre les défis économiques et sociaux du pays. Le chef du gouvernement a qualifié cette phase de gouvernance de « mandat de refondation patriotique », marqué par une exigence accrue de transparence et de reddition des comptes. Il a assuré que la revue des gestions publiques en cours ne relève d’aucune chasse aux sorcières, mais répond à « une demande légitime du peuple ».
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Dans son intervention, Ousmane Sonko a également adressé un message clair à ceux qui tenteraient, selon ses mots, de se construire « une base politique » ou de « rassembler de l’argent indu ». « Personne ne sera épargné. La même rigueur s’appliquera à tous » a t-il martelé .


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