Ndieme FAYE

Ce phénomène, qui s'intensifie malgré des mesures répressives renforcées, met en péril un secteur vital qui contribue à hauteur de 4 % du PIB national du secteur primaire.

Dr Astou Fall, responsable de la cellule de lutte contre le vol de bétail au ministère de l'Agriculture et de l'Élevage, souligne l'importance historique de l'élevage en Afrique de l'Ouest, où les communautés locales dépendent du bétail non seulement pour leur subsistance, mais aussi comme symbole de richesse et de statut social.

Elle déplore que le <a target="_self" class="editor-link" href="https://www.pulse.sn/news/societe/niaguis-le-redoutable-voleur-de-betail-tombe-enfin/w8fz5yx">vol de bétail,</a> autrefois considéré comme une pratique relativement non violente, ait évolué vers un crime organisé, marqué par une violence accrue, notamment dans des pays comme le Mali et le Nigéria, qui sont parmi les plus grands producteurs de bétail de la région.

Lors d'un atelier à Saint-Louis sur le thème de l'élevage face à cette problématique, Dr Fall a exprimé les craintes des éleveurs pour leur sécurité, tout en plaidant pour des solutions adaptées à la réalité ouest-africaine.

Ce contexte est aggravé par la mobilité et la transhumance liées à l'élevage pastoral extensif, ainsi que par les effets du changement climatique et l'insécurité croissante au Sahel.

Une réponse collective et ciblée est donc essentielle pour protéger ce secteur crucial pour l'économie régionale.

Le vol de bétail au Sénégal représente une perte annuelle alarmante, estimée à plus de 2 milliards de F CFA.

Vol de bétail : le Sénégal perd 2 milliards de F CFA par an

Dans la région de Louga, un gérant de <a target="_self" class="editor-link" href="https://www.pulse.sn/business/les-stations-service-en-greve-pendant-72-heures-a-compter-de-ce-mardi/efchvxk">station-service</a>, A. Ba, a été traîné en justice par son employeur, A. A. Diagne, qui l'accuse d'avoir détourné 4 millions de F CFA en seulement trois mois de gérance.

Lors de son procès, A. Ba a reconnu partiellement les faits, admettant un manquant de 1 500 000 F CFA dans sa caisse.

Il a cependant contesté le montant total avancé par son employeur, affirmant qu'il avait remis 850 000 F CFA à un ami de ce dernier, qui l'a trahi en contestant cette remise.

A. Ba a également mentionné avoir accordé du carburant à crédit à des amis chauffeurs, tout en exprimant son estime pour son employeur, qui lui avait donné une seconde chance.

De son côté, A. A. Diagne a réagi en affirmant qu'il considérait A. Ba comme un fils et qu'il l'avait couvert par le passé pour éviter qu'il ne soit emprisonné.

Cependant, après avoir constaté des irrégularités lors d'une visite à Coki, il a décidé de porter plainte à la brigade de gendarmerie.

L'enquête préliminaire a révélé, grâce à l'évaluation d'un expert, que le détournement s'élevait bien à 4 millions de F CFA.

Ce montant aurait été misé sur la plateforme de paris 1xbet, ce qui a conduit à la condamnation d'A. Ba à trois mois de prison ferme par le Tribunal de Louga, suivant ainsi le réquisitoire du procureur.&nbsp;

Gérant d'une station de service à Coki (Louga), le pompiste A.B. a été traîné en justice par son employeur, A. A. Diagne, qui l'accuse d'avoir détourné 4 millions de F CFA

Le gérant d'une station d'essence pompe 4 millions FCFA mise sur 1XBET et perd

Un drame s'est déroulé à Yeumbeul, où un adolescent de 15 ans, D. Kassé, a été arrêté et déféré au parquet de Pikine-Guédiawaye pour des accusations de viol.

Les faits se sont produits dimanche dernier, jour du combat royal entre Modou Lô et Siteu, comme le rapporte L'Observateur.

La mère de la victime, une jeune femme résidant au quartier Darou Salam 6, avait quitté son domicile pour quelques heures.

À son retour, elle a trouvé sa fille, A. M. Gassama, âgée de seulement 7 ans, en larmes, avec des traces de sang sur sa culotte et ses jambes.

La fillette a immédiatement désigné son cousin, D. Kassé, comme l'agresseur. Malheureusement, la mère, submergée par l'horreur de la situation, n'a pas réagi comme il se devait. Elle a pris un taxi pour emmener sa fille au poste de santé de la commune.

À l'hôpital, les médecins ont rapidement constaté que la fillette avait été victime d'un viol. Ils ont conseillé à la mère de signaler l'incident à la police avant de revenir avec une réquisition médicale.

Après avoir consulté son mari et d'autres membres de la famille, la mère a été contrainte de ramener sa fille à la maison, tentant ainsi d'étouffer l'affaire.

Cependant, la situation a attiré l'attention de l'Assistance des enfants en milieu ouvert (Aemo), qui a alerté la police locale.

Les enquêteurs, dirigés par le commissaire Cheikh Tidiane Diallo, ont rapidement procédé à l'arrestation de D. Kassé, qui a d'abord nié les faits avant de céder sous la pression des enquêteurs et d'avouer son crime.

L'examen médical a révélé des déchirures et des lésions hyménales récentes, ainsi qu'une perte de sang importante.

La fillette, qui a vécu un véritable calvaire, a été entendue par les autorités dans le cadre de l'enquête. Ce tragique événement soulève des questions sur la protection des enfants et la nécessité d'une vigilance accrue face aux abus.

D. Kassé, a été arrêté et déféré au parquet de Pikine-Guédiawaye pour des accusations de viol.

Yeumbeul : un adolescent arrêté pour le viol de sa jeune cousine

Dans la cité Dalal Jàmm de Kounoune, un groupe de quatre femmes aux identités inconnues, accompagné d'un charretier, crée une véritable panique parmi les habitants.

Ces femmes seraient impliquées dans une série de vols de chargements de béton laissés devant des maisons en construction.

Selon les informations rapportées par "Les Échos", les suspectes utilisent de grands sacs et des tamis, feignant de trier les débris de béton éparpillés sur le sol.

Lorsque le gang repère un chargement de béton, il immobilise la charrette, remplit rapidement les sacs avec le béton et disparaît dans les méandres de la cité.

Si des passants ou des résidents les surprennent en flagrant délit, elles prétendent que les propriétaires des maisons leur ont offert le béton.

Lorsqu'elles sont confrontées et invitées à contacter ces propriétaires, elles n'hésitent pas à fuir à bord de leur charrette.

Les habitants de la cité Dalal Jàmm expriment leur inquiétude face à ces actes de malveillance.

"Ces quatre femmes et le charretier nous terrorisent. Nous intensifions nos rondes, tant de jour que de nuit, pour protéger nos chantiers", confient-ils au journal. La situation semble donc préoccupante, et les résidents restent vigilants face à cette menace.

Quatre femmes sont soupçonnées d’avoir volé des chargements de béton laissés devant des maisons en construction. Pour transporter leur butin, elles sont accompagnées d’un charretier.

Vol de béton : 4 femmes et un charretier arrêtés

Ce lundi 2 décembre 2024, la chambre de commerce de Saint-Louis sera le théâtre d'une audience publique exceptionnelle, marquant le jugement des<a target="_self" class="editor-link" href="https://www.pulse.sn/sports/lutte/violences-electorales-a-saint-louis-un-celebre-lutteur-arrete/hrgyekz"> 80 prévenus impliqués dans les violences survenues lors des élections législatives anticipées du 17 novembre</a>.

Parmi les personnes interpellées, 77 seraient des membres du service de sécurité de la coalition «&nbsp;Samm Sa Kaddu&nbsp;», un groupe de l’opposition.

Les suspects pourraient être poursuivis pour divers délits liés aux violences qui ont émaillé cette campagne électorale, notamment des actes d’agression physique, des dégradations de biens publics, et des incitations à la violence dans un contexte politique tendu.

Cet événement judiciaire sans précédent dans cette ville tricentenaire est le résultat de l'exigüité du tribunal local, qui a contraint les autorités à délocaliser cette session en flagrant délit.

L'affluence attendue pour cette affaire, impliquant un grand nombre d'accusés, a conduit à la sélection de la chambre de commerce comme lieu de procès.

Ce choix met en lumière les insuffisances des infrastructures judiciaires dans la région, soulignant l'urgence d'améliorer les conditions de travail et d'accueil au sein de l'appareil judiciaire locale.

Le nouveau palais de justice, dont la construction a débuté il y a plusieurs années, est attendu comme une solution à ces problématiques.

Bien que le projet soit encore inachevé, il est censé offrir des infrastructures modernes pour une gestion optimale des affaires judiciaires et un cadre de travail adéquat pour les magistrats et les auxiliaires de justice.

La finalisation de ce bâtiment est désormais perçue comme une priorité essentielle pour garantir un meilleur accès à la justice et des conditions de travail dignes pour les professionnels du droit.

Ce lundi 2 décembre 2024, la salle de la chambre de commerce de Saint-Louis accueille, ce lundi 2 décembre 2024, une audience publique exceptionnelle, marquant le jugement des 80 prévenus impliqués dans les violences survenues lors des élections législatives anticipées du 17 novembre 2024.

Violences électorales à Saint-Louis : 80 personnes jugés ce lundi

Dans la nuit de vendredi à samedi, un incident malheureux a eu lieu à Ouakam, lorsqu'une dalle s'est effondrée sur un couple et leur nourrisson.

Selon les informations rapportées par Pressafrik, l'accident s'est produit vers minuit dans un immeuble d'un étage où résidait la famille.

Les trois membres ont subi de graves blessures, mais heureusement, ils sont tous vivants et ont été transportés d'urgence à l'hôpital pour recevoir des soins.

Cet événement tragique fait écho à un autre incident survenu quelques heures plus tôt aux Parcelles Assainies, où une dalle s'est également effondrée, blessant six personnes, dont trois jeunes filles et trois femmes.

Un effondrement s'est produit dans la nuit de vendredi à samedi à Ouakam, où une dalle s'est affaissée sur un couple et leur nourrisson.

Ouakam : une dalle s'effondre sur un couple et leur bébé

Selon les témoignages d'une des victimes, plus de trente personnes ont été dépouillées de leurs biens par un groupe d'une dizaine d'hommes lourdement armés.

Les malfaiteurs s'étaient organisés en binômes : certains gardaient les voyageurs sous la menace, tandis que d'autres fouillaient les victimes dans les buissons.

Heureusement, aucun décès n'est à déplorer dans cet incident. La majorité des personnes ciblées se rendaient à Bambadji pour assister à des funérailles.

Alertés par l'attaque, les gendarmes de la brigade de Saraya se sont rapidement déployés sur les lieux. Une enquête a été ouverte pour retrouver les auteurs de cette agression. Affaire à suivre.

Une attaque à main armée s'est produite ce vendredi 29 novembre, aux alentours de 8 heures, entre le village de Bambadji et Kharakhéna.

Attaque armée à Kédougou : 30 personnes dépouillées de leurs biens

Une tentative de cambriolage à l'usine Sococim a tourné au désavantage d'un gang de motards, avec l'interpellation de trois de ses membres.

Selon les informations rapportées par L'Observateur, ces malfaiteurs faisaient partie d'un groupe notoire ayant déjà ciblé les installations industrielles du Port de Bargny-Sendou et la centrale à charbon.

Leur dernier objectif était les câbles électriques de la société « Five Fcb », responsable de la construction du four 6 de l'usine Sococim.

Malheureusement pour eux, leur plan a échoué grâce à la vigilance des vigiles présents sur les lieux.

Les malfaiteurs avaient réussi à pénétrer dans l'usine en coupant le grillage, mais ont été surpris alors qu'ils tentaient de sortir les câbles.

En proie à la panique, ils ont abandonné une machette et un sac à dos contenant plusieurs objets, dont des sacs vides, une manette de moto, un téléphone et deux cartes SIM.

Deux membres du gang, identifiés comme A. Kâ et F. Sylla, ont été appréhendés après avoir escaladé le mur de clôture de l'usine.

Le troisième, M. Kandé, a été arrêté chez lui par la police locale, avec l'aide d'un habitant du quartier de Castors 3 de Bargny.

Les trois hommes sont désormais poursuivis pour association de malfaiteurs et tentative de vol avec violence, et ont été déférés au parquet.

Par ailleurs, sept autres complices, qui ont réussi à s'enfuir à moto lors de la tentative de cambriolage, sont activement recherchés par les autorités.

Une tentative de cambriolage a eu lieu à l'usine Sococim. Trois malfaiteurs ont été interpellés, leurs complices en fuite.

Cambriolage à l'Usine Sococim : 3 malfaiteurs arrêtés

Dans le cadre de la lutte contre la délinquance et la criminalité, la police nationale a intensifié ses efforts pour garantir la sécurité des citoyens.

<a target="_self" class="editor-link" href="https://www.pulse.sn/articles/news/operation-de-securisation-la-police-interpelle-312-individus-2024112517154749574">Une opération d'envergure a été menée dans la nuit de jeudi à vendredi</a>, sous l'égide de la Direction de la Sécurité publique (DSP).

Les forces de l'ordre, comprenant des agents des commissariats et des postes de police à travers le Sénégal, ont ciblé les zones à forte criminalité pour appréhender les individus en infraction.

Cette opération, qui visait à protéger les citoyens et leurs biens, a abouti à l'interpellation de 320 personnes.

Parmi elles, 24 ont été arrêtées pour ivresse publique, 23 pour nécessités d’enquête, et plusieurs autres pour des infractions variées telles que la détention et le trafic de drogues, les coups et blessures volontaires, ainsi que le vagabondage.

Des cas de racolage actif et de tentative de vol ont également été signalés. En parallèle, pour lutter contre l'augmentation des accidents de la circulation, les agents ont immobilisé 59 véhicules et 54 motos pour diverses infractions routières.

Cette opération témoigne de l'engagement des autorités à maintenir l'ordre et la sécurité sur l'ensemble du territoire.

Lors d'une opération de sécurisation menée dans la nuit de jeudi à vendredi,, la police a procédé à 320 interpellations.

Opération de sécurisation : 320 individus interpellés

Avec une ruse bien orchestrée, le jeune électricien a passé des commandes de chaussures qu'il a ensuite récupérées avant d'envoyer un faux code de transfert via Orange Money au vendeur, Mamadou Cissé.

Ce dernier, reconnu dans le domaine de la vente en ligne, a été piégé après avoir convenu d'une commande de cinq paires de chaussures d'une valeur de 130 000 F CFA.

Orange's mobile money transfer services, Orange Money, is already used in Africa by 50 million customers across the continent

Après avoir reçu la marchandise, Mamadou Cissé a cru avoir été payé en se basant uniquement sur le montant du faux code, permettant ainsi au livreur de partir.

Ce n'est qu'en tentant de récupérer son argent qu'il a réalisé l'escroquerie. Pour prévenir d'autres victimes, il a partagé les informations sur Abdou Cissé avec ses collègues.

Peu après, Mandougou Sène, un autre commerçant, a été contacté par Abdou Cissé pour une nouvelle commande. Cette fois, un plan a été mis en place pour l'arrêter.

Au lieu d'un seul livreur, quatre ont été envoyés au point de livraison. Lorsque le même stratagème a été tenté, Mandougou a alerté les autres livreurs, ce qui a conduit à l'arrestation d'Ibrahima Fall, le frère de Mandougou, qui ne comprenait pas la situation. Abdou Cissé et son ami Amadou Massar Diop ont également été arrêtés.

Lors de leur comparution au tribunal des flagrants délits de Dakar, Abdou Cissé a reconnu les faits, tandis qu'Ibrahima Fall et Amadou Massar Diop ont nié toute implication.

Le tribunal a finalement relaxé Ibrahima Fall, a reconnu Amadou Massar Diop coupable de recel avec une peine d'un mois de prison, et a condamné Abdou Cissé à trois mois d'emprisonnement ferme pour escroquerie.

La guerre des prix fait rage entre Orange Money et Wave au Sénégal

Abdou Cissé, un jeune électricien, a été condamné à trois mois d'emprisonnement ferme pour avoir escroqué un marchand de chaussures en ligne.

Escroquerie en ligne : un jeune électricien condamné à 3 mois de prison

Dans une opération marquante contre le<a target="_self" class="editor-link" href="https://www.pulse.sn/articles/news/trafic-de-drogue-la-police-demantele-un-reseau-de-thiak-thiak-2024112208590579466"> trafic de stupéfiants,</a> la Police nationale a réussi à interpeller sept dealers, dont un étudiant, lors d'une descente nocturne à Yarakh et Ouakam. <a target="_self" class="editor-link" href="https://www.pulse.sn/news/societe/trafic-de-drogue-locrtis-intercepte-312-kilos-de-cocaine/p0zdwbh">L'Office Central de Répression du Trafic Illicite de Stupéfiants (OCRTIS) </a>a saisi plus de 225 kg de chanvre indien, ainsi que deux pistolets et des munitions.

Cette opération, dirigée par le commissaire divisionnaire Alassane Niane, a été menée dans la nuit du 28 novembre 2024, entre 02h et 05h du matin, suite à des renseignements sur un débarquement imminent de drogue par un trafiquant notoire connu sous le nom de Kara, opérant depuis Boune.

Les agents ont intercepté une pirogue à 01h30, qui avait déchargé sept colis de drogue. Quatre individus, dont le commerçant Condé, le chauffeur de taxi I. Dramé et l'étudiant A. Bangoura, ont été appréhendés sur place avec sept colis de chanvre indien pesant au total 225 kg.

Des perquisitions à Ouakam ont permis de découvrir quatre colis supplémentaires chez le fugitif M. BA, alias Dian, ainsi qu'un colis dans l'appartement d'A. Bangoura. Deux motos utilisées pour le transport de la drogue ont également été saisies.

La poursuite des investigations a conduit à l'arrestation de trois autres membres du gang, dont S.Bâ, M. BA alias Dian et M. D. BA, qui étaient en possession de chanvre indien en vrac, de deux armes à feu et de munitions. M. BA alias Dian, appréhendé lors de cette opération, avait également en sa possession plusieurs paires de ciseaux, probablement utilisées pour découper la drogue.

Cette opération témoigne de l'engagement des forces de l'ordre dans la lutte contre le trafic de stupéfiants et la criminalité organisée.

Joli coup de filet de la police qui a mis la main sur sept trafiquants en possession de 225 kg de chanvre indien.

7 dealers arrêtés avec 225 kg de chanvre indien entre Yarakh-Ouakam

Le commandant de la brigade de Foundiougne aurait été envoyé en prison. Il aurait été arrêté par la gendarmerie prévôtale.

Selon L’AS, qui donne l’information, il est accusé d’avoir battu un jeune du nom de Thomas Diatta (25 ans).Victime d’un accident qui lui a causé une double fracture, ce dernier a été admis au district sanitaire de Foundiougne.

Du chanvre indien a été trouvé sur lui, selon L’AS. Le journal rapporte que c’est pour avoir des informations sur l’origine de la drogue que le commandant de la gendarmerie l’a interrogé sur son lit d’hôpital.

« Le jeune homme a feint de ne rien comprendre, rembobine L’AS. Énervé par cette attitude, le gendarme l’a roué de coups d’abord avec un balai puis avec la béquille dont se servait la victime pour se déplacer. C’est la grande sœur de Thomas Diatta, témoin de la scène, qui a saisi le procureur d’une plainte. »

Le commandant de la gendarmerie de Founddiougne a été pour avoir frappé un fumeur de chanvre indien.

Un commandant de la gendarmerie arrêté, il a frappé un fumeur de chanvre indien (L'AS)

L'Observateur rapporte une affaire de bigamie qui a été examinée au Tribunal de Louga. N. Diop, une jeune femme d'une vingtaine d'années, a été reconnue coupable et condamnée à trois mois de prison avec sursis.

Elle a été poursuivie par son premier mari, M. Wade, et jugée aux côtés de son père, de son nouveau mari et de ses beaux-parents, qui ont également été accusés de complicité de bigamie et ont reçu des peines avec sursis.

M. Wade a déclaré : « N. Diop est ma femme depuis trois ans, mais son comportement était inacceptable. Elle ne me respectait pas et ne voulait pas d'enfants, utilisant la contraception à mon insu. Quand j'ai abordé le sujet, elle m'a dit qu'elle ne voulait pas d'enfants avec moi parce que je n'étais pas un bon mari. »

Il a ajouté qu'il avait demandé à N. Diop de retourner chez ses parents en attendant que leurs familles trouvent une solution à leurs différends. Cependant, quelques mois après son départ, elle a été remariée sans que le divorce ait été prononcé.

M. Wade a tenté de contacter le père de N. Diop pour exprimer ses préoccupations, mais ce dernier lui a affirmé avoir répudié sa fille, ce que Wade conteste. Il a également interpellé M. Kane, le nouveau mari, en lui demandant de lui rendre sa femme.

"Mon mari m'a répudiée à trois reprises"

De son côté, N. Diop a défendu son choix en expliquant : « J'ai vécu un véritable enfer avec M. Wade. Il me frappait régulièrement, et tout le village était au courant de mes souffrances. Il m'a répudiée à trois reprises, et je ne pouvais plus supporter cette violence. J'ai donc décidé de retourner chez mes parents. »

M. Diop, le père de N. Diop, a affirmé que Wade lui avait avoué avoir répudié sa fille, ce qui l'a conduit à prendre la décision de la marier à un autre homme. M. Kane, le nouveau mari, a également soutenu que N. Diop lui avait assuré qu'elle n'était plus mariée.

Dans son jugement, le juge a rappelé à toutes les parties que seul le tribunal avait le pouvoir de prononcer un divorce, soulignant ainsi la complexité de cette affaire de bigamie.

Une affaire rocambolesque de bigamie a été évoquée au Tribunal de Louga.

Elle quitte son mari violent pour se remarier, mais se retrouve en procès pour bigamie

Business

Les escrocs s'appuient sur des mécanismes psychologiques éprouvés pour désactiver la vigilance de leurs victimes. Leur objectif est de neutraliser les signaux d'alarme qui pourraient éveiller la méfiance et déclencher des réflexes de défense.

Pour ce faire, ils exploitent divers biais psychologiques, comme la conformité sociale, la rareté ou l'urgence, ainsi que des manipulations émotionnelles. Ces dernières leur permettent de jouer sur les peurs et les espoirs de leurs cibles, promettant des gains rapides ou des opportunités uniques. Ils isolent souvent leurs victimes, créant un sentiment d'urgence ou insistant sur la discrétion, tout en utilisant des flatteries pour affaiblir leurs défenses.

La mauvaise nouvelle est que ces techniques de manipulation peuvent être intégrées dans des systèmes d'IA. Les cybercriminels peuvent ainsi utiliser des outils d'apprentissage automatique pour modéliser les comportements humains et les dynamiques sociales, rendant leurs attaques plus efficaces et sophistiquées.

Le rapport « New defenses, new threats: What AI and Gen AI bring to cybersecurity? » publié par le Capgemini Research Institute souligne cette évolution, révélant que 92 % des organisations ont subi une violation de sécurité en 2023, une augmentation significative par rapport aux 51 % en 2021.

L'adoption massive de l'<a target="_self" class="editor-link" href="https://www.pulse.sn/news/intelligence-artificielle-les-dessous-dune-information-manipulee/qkde5x6">IA</a> dans les entreprises élargit également la surface d'attaque, introduisant de nouveaux vecteurs comme les assistants conversationnels et les outils de collaboration numérique. Le phénomène de « shadow AI », qui désigne l'utilisation d'applications non autorisées par les employés, constitue une menace interne croissante.

Les cybercriminels utilisent l'IA pour faciliter leurs attaques, rendant des techniques comme les deepfakes et les campagnes d'hameçonnage plus accessibles, même pour des attaquants inexpérimentés.

Une Stratégie d'Intégration de l'IA en Cybersécurité

Face à ce double rôle de l'<a target="_self" class="editor-link" href="https://www.pulse.sn/lifestyle/intelligence-artificielle-de-quoi-parle-t-on/51v87c6">IA</a>, les RSSI doivent adopter une approche proactive et équilibrée. Il est crucial de développer une stratégie claire pour intégrer l'IA dans les systèmes de sécurité, en identifiant des cas d'usage prioritaires tels que la détection d'anomalies et l'automatisation des réponses aux incidents.

Les entreprises doivent également établir des politiques strictes pour encadrer l'utilisation de l'IA, en mettant en place un cadre de gestion des risques spécifique à ces technologies. Il est également essentiel d'investir dans des infrastructures modernes adaptées aux exigences de l'<a target="_self" class="editor-link" href="https://www.pulse.sn/news/societe/lutte-contre-la-desinformation-135-journalistes-et-techniciens-senegalais-formes-a/2q8dvzt">IA</a>, comme des processeurs spécialisés et des capacités cloud.

La formation des équipes de cybersécurité est primordiale pour maîtriser ces nouveaux outils, tout en sensibilisant l'ensemble des employés aux risques associés. Une culture organisationnelle axée sur la vigilance face aux menaces est indispensable pour compléter ces efforts techniques.

Anticiper les Menaces

Pour anticiper les menaces, une approche proactive utilisant l'IA pour surveiller en temps réel les réseaux et identifier les vulnérabilités est recommandée. Des outils comme les jumeaux numériques peuvent simuler des scénarios d'attaques sans exposer les systèmes réels.

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Enfin, l'établissement de protocoles de réponse aux incidents intégrant l'IA permettra d'améliorer la rapidité et la précision des réponses, tout en maintenant une supervision humaine pour les décisions critiques.&nbsp;

En somme, bien que l'IA présente des défis en matière de cybersécurité, elle offre également des opportunités significatives pour renforcer les défenses et anticiper les menaces. Les entreprises doivent donc s'adapter et évoluer pour tirer parti de ces technologies tout en restant vigilantes face aux risques qu'elles engendrent.

Intelligence artificielle, outil de détection de tumeurs cancéreuses mis au point

La démocratisation de l'intelligence artificielle (IA) représente à la fois une opportunité et un défi pour les responsables de la sécurité des systèmes d'information (RSSI). Tandis que les cybercriminels exploitent ces technologies pour perfectionner leurs attaques, les entreprises peuvent également les utiliser pour renforcer leurs défenses.

IA et Cybersécurité : garder une longueur d'avance face aux menaces

Dans sa plainte déposée le 18 novembre dernier, elle affirme avoir été « menacée avec une arme blanche » et que « ses agresseurs ont emporté la recette de trois millions de francs CFA, appartenant à sa patronne ». Elle déclare également avoir perdu « son téléphone portable et deux autres appareils professionnels ».

Cependant, les choses ne se passent pas comme prévu. En effet, lors de son audition, M. D. S. se contredit en affirmant d'abord qu'il s'agissait de deux motos avant de rectifier en disant qu'il n'y avait qu'une seule moto avec deux personnes à bord.

Les enquêteurs, intrigués, se rendent sur les lieux et interrogent les riverains, y compris des vendeurs de fruits, qui affirment n'avoir été témoins d'aucune agression.

Les policiers, devenant de plus en plus suspicieux, interrogent M. D. S. sur l'argent volé. Ils notent qu'une partie de la recette de trois millions de francs CFA aurait dû être déposée sur les comptes Wave et Orange Money en tant que fonds de caisse, mais cela ne semble pas être le cas. M. D. S. prétend avoir tout retiré le jour même de l'agression sans fournir d'explication valable.

Finalement, acculée par les questions des enquêteurs, la gérante finit par avouer qu'elle a profité du voyage de sa patronne pour détourner l'argent et inventer l'histoire de l'agression.

Suite à la plainte de sa patronne, M. D. S. a été déférée au Parquet ce mardi pour abus de confiance, vol au préjudice de son employeur et destruction de biens d'autrui. Les téléphones qu'elle avait soigneusement cachés chez elle ont été récupérés et remis à ses collègues, selon les informations de Source A.

Dans sa livraison de ce mercredi, Source A révèle une affaire qui fait grand bruit à Liberté 6. M. D. S., gérante d'un multiservice, a franchi les limites en portant plainte au commissariat de Dieuppeul après avoir prétendu avoir été victime d'une agression.

Elle dépose une plainte et se retrouve en prison

Selon le journal EnQuête, l'arrestation a été orchestrée suite à une information anonyme crédible concernant un projet d'<a target="_self" class="editor-link" href="https://www.pulse.sn/articles/news/1119-migrants-arretes-au-large-de-djiffere-2024111919060619862">émigration clandestine</a> vers les îles Canaries par voie maritime. Des sources ont indiqué que l'embarcation suspecte se trouvait sur la plage de Ndiolmane à Bargny.

Initialement, les candidats à l’immigration clandestine devaient partir entre le 22 et le 25 novembre 2024, avec une probable date de départ fixée au samedi précédent l'arrestation. Les informations recueillies ont révélé que M. Seck accueillait chez lui un nombre indéterminé de candidats, en attente du jour du départ.

Après plusieurs recoupements, les forces de l’ordre ont localisé M. Seck à son domicile dans le quartier Wakhande à Bargny. Lors de son interrogatoire, il a admis sa participation au trafic de migrants, bien qu’il ait insisté, sans convaincre, sur le fait qu'il était l'unique organisateur de cette opération.

Il a précisé qu’aucune date de départ n’avait encore été fixée, car le nombre de candidats n'était pas suffisant. M. Seck a également révélé avoir déjà encaissé 1 million de francs CFA, collectés auprès de quatre candidats logés chez lui en attendant le départ.

Les candidats identifiés comprennent trois ressortissants étrangers et un Sénégalais : C. Doumbia, un jeune élève de 21 ans domicilié à Gongo en Gambie ; M. Diarra, maçon de 18 ans originaire du Mali ; D. Sall, un ouvrier de 23 ans ; et D. Barry, ferrailleur de 44 ans, venant de Guinée.&nbsp;

Interrogés par la police, ces candidats ont confirmé leur engagement dans le projet organisé par M. Seck et admis avoir versé des sommes allant de 150 000 à 400 000 F CFA. En conséquence, M. Seck a été placé en garde à vue pour trafic de migrants, alors que l’enquête se poursuit.

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Les agents de la brigade de recherches du poste de police de Bargny ont appréhendé M. Seck, connu sous le nom de "Baye Modou", un pêcheur de 34 ans, pour son implication dans le trafic de migrants.

"Barça ou Barsakh" : un pêcheur-passeur arrêté

L'intervention des autorités a été déclenchée par une alerte du gouverneur Ibrahima Fall concernant une ONG qui prétendait enrôler des candidats pour un projet de logements sociaux.

Sur instruction du gouverneur, le commissaire principal Mor Ngom et lui-même se sont rendus sur place, où ils ont découvert que l’ONG en question, Omart City, bien qu'en possession d'un récépissé, procédait à des inscriptions contre un montant de 6 000 F CFA par personne pour des frais de dossier.

Les premières investigations ont révélé que cette ONG ne possédait aucune convention signée avec l'État du Sénégal, ce qui a soulevé des doutes sur la légitimité de ses opérations.

Face à cette situation, le gouverneur a immédiatement ordonné la suspension des activités de l’ONG et le transfert des responsables à la police pour recueillir leurs témoignages.

De plus, il a exigé que les trois femmes incriminées remboursent les sommes déjà encaissées lors des inscriptions.

Un total de 102 personnes avaient déjà été inscrites dans cette affaire controversée. Les trois responsables, actuellement en garde à vue, sont interrogées dans le cadre de cette enquête pour faire la lumière sur les circonstances entourant cette escroquerie.

Le commissariat central de Diourbel a récemment mis fin à un présumé réseau d'escroquerie, entraînant l'arrestation de trois femmes impliquées dans des activités douteuses.

Diourbel : un réseau de faux logements sociaux démantelé

Un cambriolage audacieux a eu lieu dans un pressing situé au quartier Grand-Standing, face à la pharmacie Khadim Rassoul, à Thiès-Ouest, où une bande d'environ quinze malfaiteurs lourdement armés a emporté cinq millions de FCFA.&nbsp;

Les faits se sont déroulés tard dans la nuit, vers 3 heures du matin. Les cambrioleurs, arrivés à bord d'un véhicule non identifié, ont attaqué le pressing et se sont appropriés la somme en question.

Des témoins rapportent que les malfaiteurs étaient bien équipés en armes, ce qui a dissuadé toute tentative d'intervention de la part des résidents ou des passants, qui ont été accueillis par des tirs d’intimidation. En toute tranquillité, les cambrioleurs ont réussi à fuir avant l'arrivée des forces de sécurité.

Cet incident a généré une vive inquiétude parmi les habitants de Grand-Standing, qui redoutent pour leur sécurité face à la montée du grand banditisme à Thiès.

15 malfaiteurs lourdement armés ont braqué un pressing situé au quartier Grand-Standing, face à la pharmacie Khadim Rassoul, à Thiès-Ouest. Ils ont emporté cinq millions de FCFA.

Thiès : un pressing cambriolé, 5 millions FCFA dérobés

La Cité Keur Gorgui a récemment été le théâtre d'une agression audacieuse. Alpha O.B. a été attaqué par trois individus à moto, qui l’ont dépouillé de son téléphone portable.

Cependant, la victime a montré une grande détermination en résistant lorsque les agresseurs ont tenté de s'emparer de son motocycle.

Grâce à l'aide des habitants du quartier, Alpha a réussi à capturer l'un des agresseurs armés, A. Diallo. Ce dernier a ensuite été remis aux autorités du commissariat de Dieuppeul, où il a révélé l'identité de ses deux complices.

Une opération policière menée à Grand-Dakar a conduit à l'arrestation du chef du gang, M. M. Ndoye. Ce dernier, récidiviste, avait été libéré de prison il y a seulement un mois après avoir purgé une peine de deux ans pour des faits similaires.

Identifié par les enquêteurs de Dieuppeul, le troisième membre du gang est toujours en fuite et activement recherché par la police.

Suite à l'enquête, M. M. Ndoye et A. Diallo ont été présentés hier au procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar. Ils sont poursuivis pour association de malfaiteurs, vol avec violence en réunion, avec usage de moyens roulants et d’armes blanches.

Le chef d’un gang de voleurs, qui dépouillait les résidents de la Cité Keur Gorgui, vient d'être arrêté un mois seulement après sa libération.

Cite Keur Gorgui :  le chef d’un gang de voleurs tombe

Un homme âgé de 43 ans, <a target="_self" class="editor-link" href="https://www.pulse.sn/news/societe/argentine-un-marchand-ambulant-senegalais-poignarde-a-mort/ce6wl40">marchand ambulant</a> de son état et identifié comme I. A. Guissé, a été appréhendé au quartier Darou Salam 6 de Comico après avoir tenté de soutirer de l'argent à un boutiquier en se faisant passer pour un agent des services d’hygiène. En difficulté financière, Guissé a eu l'idée de cette supercherie pour subvenir à ses besoins.

Les événements se sont déroulés vers 14 heures, lorsque H. Ba, le boutiquier, a remarqué le comportement suspect de Guissé dans sa boutique. Inquiet, il a contacté le commissariat d’arrondissement de Comico pour signaler l’intrus qui prétendait être un agent des services d’hygiène et tentait de l'intimider pour obtenir de l'argent.

Les forces de police, dirigées par le commissaire Diallo, se sont rapidement rendues sur les lieux et ont interpellé Guissé. Lors de son arrestation, il a reconnu ouvertement les faits et a expliqué aux policiers que ses difficultés en tant que marchand ambulant l’avaient poussé à commettre ce délit.

Actuellement, I. A. Guissé est en garde à vue pour usurpation de fonction et tentative d'extorsion de fonds.

Le marchand ambulant a été appréhendé au quartier Darou Salam 6 de Comico après avoir tenté de soutirer de l'argent à un boutiquier en se faisant passer pour un agent des services d’hygiène.