« En ce mois d’avril, nous étions dans le bassin arachidier où la prévalence de l’hépatite B est à plus de 10% », a-t-il déclaré. Le docteur Diop animait, samedi, à Dakar, un panel organisé dans le cadre de la Journée mondiale de la santé, célébrée le 7 avril dernier, sur le thème « Notre santé, nos droits ».
La prévalence de l’hépatite B s’élève à plus de 10%, dans le bassin arachidier, a indiqué le secrétaire général du cadre de concertation, de coordination et d’actions, de plaidoyer de la société civile pour la santé au Sénégal (3 Cap-Santé), Karim Diop.
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« Les dépistages menés ont montré que l’hépatite B affecte beaucoup de jeunes leur causant la cirrhose, une inflammation chronique du foie qui détruit les cellules hépatiques », a-t-il expliqué. La prévalence de l’hépatite B s’élève à plus de 10%, dans le bassin arachidier, a indiqué le secrétaire général du cadre de concertation, de coordination et d’actions, de plaidoyer de la société civile pour la santé au Sénégal (3 Cap-Santé), Karim Diop.
« En ce mois d’avril, nous étions dans le bassin arachidier où la prévalence de l’hépatite B est à plus de 10% », a-t-il déclaré. Le docteur Diop animait, samedi, à Dakar, un panel organisé dans le cadre de la Journée mondiale de la santé, célébrée le 7 avril dernier, sur le thème « Notre santé, nos droits ».
« Les dépistages menés ont montré que l’hépatite B affecte beaucoup de jeunes leur causant la cirrhose, une inflammation chronique du foie qui détruit les cellules hépatiques », a-t-il expliqué.
« Malheureusement, si vous allez à Kaolack, vous verrez qu’au niveau des hospitalisations en interne, il y a beaucoup de jeunes qui présentent des cirrhoses, c’est-à-dire des cancers du foie », déplore le docteur Diop. Il a plaidé pour la « mise en œuvre d’un programme ardu de dépistage, de prévention et de vaccination des enfants à la naissance contre l’hépatite B ».
Karim Diop, a annoncé qu’une note conceptuelle sera transmise aux autorités avec des recommandations, pour apporter des solutions à ce problème de santé. « L’Etat ne pourra pas tout faire, mais peut renforcer la dynamique qui est déjà développée », a-t-il souligné. Malheureusement, si vous allez à Kaolack, vous verrez qu’au niveau des hospitalisations en interne, il y a beaucoup de jeunes qui présentent des cirrhoses, c’est-à-dire des cancers du foie », déplore le docteur Diop. Il a plaidé pour la « mise en œuvre d’un programme ardu de dépistage, de prévention et de vaccination des enfants à la naissance contre l’hépatite B ».
Karim Diop, a annoncé qu’une note conceptuelle sera transmise aux autorités avec des recommandations, pour apporter des solutions à ce problème de santé. « L’Etat ne pourra pas tout faire, mais peut renforcer la dynamique qui est déjà développée », a-t-il souligné.