Une 3e plainte contre Cheikh Yérim Seck

Après l'ex-capitaine Touré et Ousmane Sonko, le journaliste Cheikh Yérim Seck fait l'objet d'une plainte suite à la parution de son le livre intitulé ‘’Macky Sall face à l’histoire. Passage sous scanner d'un pouvoir africain"

Le journaliste Cheikh Yérim Seck

L'ouvrage de Cheikh Yérim Seck de plus de 244 pages continue d’alimenter la polémique dans le pays. Publié seulement samedi dernier, l’auteur est déjà visé par plusieurs plaintes. En effet, après le leader de Pastef, Ousmane Sonko qui annonce une citation directe et l’ancien capitaine Seydina Oumar Touré, Cheikh Yérim Seck est également visé par une autre plainte qui est l’œuvre de Cheikh Ahmed Tidiane Ndiaye. L’ancien directeur général de la société d’Aviation handling service (Ahs) sous le régime de Me Abdoulaye Wade a saisi le commissaire de la Division des investigations criminelles (Dic) pour diffamation publique et diffusion de fausses informations, rapporte SourceA.

Cheikh Ahmed Tidiane Ndiaye a constaté que le journaliste, dans son ouvrage a proféré à la page 84 des allégations mensongères à son égard, qui portent atteinte à son honneur et à sa réputation. Dans la plainte qu’il a adressée au commissaire de la Dic, il déclare : «Monsieur le Commissaire, je viens respectueusement auprès de vous porter plainte contre Monsieur Cheikh Yérim Seck pour diffamation publique et diffusion de fausses informations et ce, en raison du fait énoncé ci-dessous : Dans son ouvrage intitulé ‘’Macky Sall Face à l’histoire’’ Passage sous scanner d’un pouvoir africain, Monsieur Cheikh Yérim Seck a proféré à la page 84 des allégations mensongères à mon égard, qui portent atteinte à mon honneur et à ma réputation».

C’est pour laver son honneur que l’ex poulain de Wade père «a déposé une plainte pour diffamation publique et diffusion de fausses informations contre Monsieur Cheikh Yérim Seck conformément aux dispositions pertinentes du code pénal et du code de procédure pénale». Pour l’ancien directeur général de la société d’Aviation handling service (Ahs), un tel comportement ne peut être admis. C’est pourquoi il demande au commissaire de la Division des investigations criminelles de bien vouloir donner à cette affaire la suite qu’elle comporte.

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