Kim Kardashian affirme que Kanye West l’a accusée d’avoir simulé son braquage
Kim Kardashian a fait une révélation inattendue dans le dernier épisode de The Kardashians. La star américaine affirme que son ex-mari, le rappeur Kanye West, figure parmi les personnes qui ont insinué qu’elle aurait « mis en scène » le braquage dont elle a été victime dans sa chambre d’hôtel à Paris, en octobre 2016, durant la Fashion Week. Alors qu’elle retournait à Paris en avril et mai derniers pour témoigner au procès des dix personnes accusées d’avoir participé au braquage surnommés les « papy braqueurs » Kim Kardashian a profité de son émission pour revenir sur cette affaire qui a profondément marqué sa vie.
Devant les caméras, elle s’en est prise à ceux qui avaient relayé des rumeurs mettant en doute sa version des faits, y compris Kanye West. « Même mon ex-mari m’a dit : Tu as simulé ton agression pour une émission de télévision. Et il l’a dit à tout le monde », a-t-elle déclaré, selon Us Weekly. « Ça m’a transpercé le cœur. Penser qu’une personne qui te connaît si bien puisse douter d’un traumatisme pareil… Ça m’a vraiment blessée. » À l’époque du braquage, Kanye West avait pourtant interrompu un concert à New York pour rentrer d’urgence auprès de son épouse. Mais selon Kim Kardashian, ce soutien public n’avait pas empêché les soupçons privés.
Durant le procès à Paris, la fondatrice de SKIMS dit avoir ressenti un soulagement. Témoigner face aux accusés lui a permis de tourner une page. « Pouvoir enfin aller au procès, entendre leurs excuses et voir la vérité éclater… Je me suis dit : Vous voyez, c’était réel », confie-t-elle. Kim Kardashian affirme même que cette épreuve a « changé sa vie pour le meilleur », une réflexion qu’elle dit n’avoir pas osé formuler devant les juges. « J’ai dit à ma mère : Merci de m’avoir fait ça. Les avocats auraient été furieux si j’avais dit ça à la barre », raconte-t-elle avec émotion. Le procès s’est conclu par la condamnation de huit accusés. Quatre ont été reconnus coupables de vol à main armée et quatre autres de complicité ou d’infractions associées. Aucun n’a été renvoyé en prison, certains ayant déjà purgé leur peine en détention préventive.