Le Sénégal pourrait bénéficier d’une bouffée d’oxygène dans le dossier très sensible de la dette cachée. Face à la presse, Julie Kozack, directrice de la communication du Fonds monétaire international (FMI), a indiqué que l’institution n’envisage pas, à ce stade, de demander un remboursement immédiat au gouvernement sénégalais. « Aucune demande de remboursement anticipé ne sera formulée », a déclaré la responsable du FMI, précisant que l’institution souhaite adopter une approche axée sur des mesures convenues avec les autorités sénégalaises.
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Celles-ci devront permettre de traiter les causes profondes de cette dette non déclarée, ainsi que les vulnérabilités macroéconomiques qui ont fragilisé les finances publiques. Cette orientation devra toutefois être approuvée par le Conseil d’administration du FMI, a rappelé Julie Kozack, soulignant que les discussions restent en cours afin de finaliser un accord sur les politiques à mener et les réformes à mettre en œuvre dans le cadre d’un nouveau programme financier pour le Sénégal. Les négociations avec le FMI sont cruciales pour rétablir la confiance des marchés et des partenaires économiques.
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Le gouvernement espère conclure un accord afin d’obtenir un soutien budgétaire nécessaire à la stabilité financière de l’État. En attendant, l’institution internationale réaffirme sa volonté de travailler à une issue qui garantisse à la fois la stabilité macroéconomique et la transparence dans la gestion des finances publiques.


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