Dans un entretien accordé à France 24, il estime que l’ex-président centrafricain François Bozizé, "s’engageant dans la rébellion et ayant tout fait pour empêcher la tenue d’élections", est "responsable d’une "entreprise criminelle". Il a démenti "toute action militaire conjointe" entre Moscou et la Minusca et dit avoir bon espoir que les forces armées centrafricaines reprennent le contrôle de l’ensemble du territoire national d’ici quelques mois. Il accuse l’ex-président François Bozizé d’avoir tout fait pour saboter le processus électoral, qualifiant ses actions "d’entreprise criminelle" et demandant à ce qu’il soit jugé.