Selon Libération, Le présumé, ingénieur dans une société automobile basée en France, s’est encore offusquée de la décision, prise par l’autorité au début de la pandémie, d’interdire le rapatriement des morts de la Covid-19. Il assure avoir lu des revues scientifiques qui démontrent que les personnes décédées du virus ne peuvent pas transmettre la maladie. Cependant, il a nié les faits selon lesquels il a agressé le professeur Seydi.