Pour y remédier, le Premier ministre Ousmane Sonko, qui dirigeait les travaux a donné des instructions au ministre en charge des Collectivités territoriales, pour travailler avec les maires, afin d'apporter une réponse efficace « aux abus sur l’état-civil, notamment en identifiant et en sanctionnant les auteurs de contrefaçon dans les mairies et leurs complices externes ».
Parce qu’il est inadmissible, selon lui, que des citoyens de manière générale et particulièrement, des enfants, soient « victimes des négligences ou plutôt des fautes d’agents qui ne font pas ce qu’ils doivent faire ou pour des raisons liées au monnayage, se retrouvent à délivrer le même papier à 50 personnes ».
Et le chef du gouvernement de poursuivre : « Ce sont des questions qui ont des solutions très simples. C’est la fermeté dans l’application de la loi. C’est pourquoi, nous tenons à mettre fin à ce phénomène ».