Selon les faits rapportés, T. M. a été pris de colère en découvrant que sa femme, A. M., recevait des appels d’un autre homme alors qu’elle se trouvait sous la douche. Lorsque le mari a décroché le téléphone, l’homme à l’autre bout de la ligne a affirmé partager « la même femme » que T. M., provoquant l’ire de ce dernier.
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Malgré la tentative de la femme de calmer la situation, l’époux, emporté par la colère, aurait roué de coups sa femme, qui a dû se rendre à la police avec un certificat médical attestant des blessures pour déposer plainte pour coups et blessures volontaires (CBV). T. M. a été arrêté puis placé sous liberté provisoire avant d’être présenté au tribunal d’instance. À la barre, il a nié les faits, déclarant que sa femme avait l’habitude de communiquer avec d’autres hommes par téléphone et de supprimer les numéros après chaque appel, ce qui, selon lui, alimentait ses soupçons.
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La victime a contesté ces affirmations et demandé le divorce. Le procureur de la République a requis l’application stricte de la loi. Le juge a finalement condamné T. M. à payer une amende de 20 000 F CFA et à verser 100 000 F CFA à la partie civile au titre de réparation.


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