Ndieme FAYE

Identifiée pour la première fois à Djibouti en 2012, cette espèce, qui se reproduit principalement dans les environnements urbains, a rapidement entraîné une flambée des cas de maladie dans la région. Alors que Djibouti avait presque éradiqué le paludisme avec seulement 27 cas, le chiffre a dramatiquement augmenté, dépassant les 70 000 cas en 2020.

En 2023, l'Anopheles stephensi a franchi les frontières et a généré une "augmentation sans précédent" du nombre de cas en Éthiopie. Selon les derniers rapports de l'OMS, le nombre de cas a explosé, atteignant 7,3 millions entre le 1er janvier et le 20 octobre 2024, ce qui représente une augmentation alarmante par rapport aux 4,1 millions de cas de l'année précédente.

Ce moustique est particulièrement préoccupant car il prospère dans des lieux où l'eau s'accumule, notamment les gouttières et les systèmes de climatisation. Résistant aux insecticides et piquant plus tôt dans la soirée que d'autres espèces, l'Anopheles stephensi remet en question l’efficacité des moustiquaires, qui ont été essentielles dans la lutte traditionnelle contre le paludisme.

Le nombre de cas a explosé, atteignant 7,3 millions entre le 1er janvier et le 20 octobre 2024

Meera Venkatesan, à la tête de la division paludisme de l'USAID, indique que la propagation de cette espèce pourrait compromettre des décennies d'avancées dans la lutte contre le paludisme. En 2022, l'Afrique a enregistré 95 % des 244 millions de cas de paludisme et 608 000 décès dans le monde.

Les spécialistes redoutent que l'Anopheles stephensi n'atteigne des villes densément peuplées comme Mombasa, au Kenya, et Khartoum, au Soudan. Une étude de 2020 estime que jusqu'à 126 millions de citadins en Afrique pourraient être à risque. En outre, le récent statut d’exemption de paludisme accordé à l'Égypte par l'OMS pourrait être mis en péril par l'arrivée de ce moustique.

Bien que sa présence ait été confirmée au Kenya fin 2022, l'Anopheles stephensi semble pour l'instant confiné à des zones chaudes et sèches, en évitant Nairobi, qui est située à une altitude plus élevée. Charles Mbogo, président de l'Association panafricaine de lutte contre les moustiques, souligne la nécessité de recherches approfondies pour mieux comprendre les comportements et la biologie de cette espèce.

Les experts insistent sur l'importance d'accroître le financement pour l'étude de l’Anopheles stephensi et pour des campagnes de sensibilisation sur les mesures préventives, comme la couverture des récipients d'eau. En parallèle, le spectre d’une résistance émergente aux traitements antipaludiques devient inquiet, avec des cas signalés en Ouganda, au Rwanda, en Tanzanie et en Érythrée.

Dorothy Achu, responsable des maladies tropicales à l'OMS, signale que le phénomène de résistance aux médicaments est imminent, et l'OMS collabore avec les pays touchés pour diversifier les traitements et retarder cette évolution indésirable. En outre, une variante du paludisme échappe déjà aux tests de diagnostic.

La combinaison de l’Anopheles stephensi et de la résistance aux traitements pourrait créer une tempête parfaite pour le paludisme sur le continent. Meera Venkatesan souligne que la transmission accrue provoquée par ce moustique pourrait faciliter la propagation d'autres maladies.

Hausse du nombre de morts du Paludisme en raison de la pandémie de Covid-19

Pour relever ces défis, l'OMS appelle à une approche continentale coordonnée, tout en soulignant l'importance d'une volonté politique renforcée. Charles Mbogo insiste sur le besoin pressant de collaborations entre scientifiques et gouvernements des pays voisins pour développer des stratégies efficaces contre cette menace croissante.

L'apparition de l'Anopheles stephensi, un moustique d'origine asiatique, pose des défis majeurs dans la lutte contre le paludisme en Afrique.

L'Anopheles stephensi : une nouvelle menace pour la lutte contre le paludisme

De nouveaux éléments ont émergé dans l'affaire impliquant <a href="https://www.pulse.sn/news/politique/jerome-bandiaky-la-justice-ordonne-lexpulsion-de-sa-famille-de-leur-domicile/g3cly14">Jérôme Bandiaky, </a>surnommé « Sniper », qui est accusé d’agir en tant que collaborateur des opérations douteuses au sein du camp présidentiel sous l'administration de Macky Sall. Selon le journal Libération, un « témoin clé » aurait apporté des informations accablantes à son encontre.

Un témoin accuse Bandiaky et le rappeur Dof Ndèye

Ce témoin aurait déclaré aux enquêteurs avoir vu Jérôme Bandiaky, accompagné de ‘Mbeuss’ et de Dof Ndèye, se rendre chez un dignitaire de l’ancien régime. Leur arrivée s'est faite à bord d’un véhicule transportant des machettes et des pistolets automatiques, parmi d’autres éléments compromettants.

Pour élucider cette affaire, les enquêteurs de la Division des Investigations Criminelles (Dic) ont procédé à l'arrestation de Mbeuss, de son vrai nom<a href="https://www.pulse.sn/news/politique/affaire-bandiaky-un-beau-frere-du-lutteur-boy-niang-arrete/m2cfm81"> Bathie Bâ, qui fait partie de l'écurie Boy Niang</a>. Par ailleurs, Dof Ndèye, déjà incarcéré pour une autre affaire, devrait être extrait de sa cellule pour être entendu sur ces nouvelles accusations.

Un lutteur de l'écurie Boy Niang arrêté

Libération souligne que ces développements font suite à une demande discrète du Doyen des juges au sujet de l'approfondissement de l’enquête, après avoir placé Jérôme Bandiaky sous mandat de dépôt.

De nouveaux développements sont intervenus dans l'affaire Jérôme Bandiaky alias "Sniper" à la suite d'une délégation judiciaire.

Affaire Jérôme Bandiaky : le juge traque les présumés nervis

« Notre ambition est de transformer le Sénégal. C’est un moment de joie. Ces élections législatives sont essentielles pour nous permettre de corriger certains aspects et pour les autres de continuer leur mission. Nous devons promouvoir la paix, qui a prévalu tout au long de notre collaboration, ainsi que ce leadership collaboratif. Il s’agit d’un combat entre la manipulation et le travail, entre le mensonge et la vérité. Quel que soit le résultat des urnes, nous l’accepterons. Nous respecterons le vote des Sénégalais, tout en poursuivant notre travail », a déclaré Bougane Guèye Dany.

Concernant le discours du Chef de l'État, le leader de Gueum sa Bopp a salué « un discours responsable, comme on l'attend d'un Président ». Il a ajouté : « Le discours du Président doit être rassembleur. C’est ce que nous attendons tous de lui, tout comme du Premier ministre. Bien que nos idées diffèrent, nous faisons partie de la même famille politique. Ils ont la chance d’avoir une opposition de la même génération. »

Bougane Guèye Dany a également évoqué Bassirou Diomaye Faye, disant avoir remarqué qu’il « porte le manteau du Président ». Il a exprimé l'espoir que le Premier ministre, ayant modéré certaines de ses déclarations, « emprunte une voie différente de celle que nous anticipons ».

Bougane Guèye Dany a effectué son devoir civique à l’école Woré de Liberté 5. Après 21 jours de campagne électorale, le 11ème sur la liste de Sàmm sa Kaddu s’est exprimé sur l’importance des élections législatives et le discours du Président de la République.

Bougane Guèye Dany : "nous respecterons le vote des Sénégalais"

Selon les détails rapportés par L'Observateur, en juin 2023, la professeure A. S. a été convoquée par le Proviseur, qui lui a révélé que l'intendant, I. D., avait affirmé que son époux était impliqué dans le trafic de drogue. D'après les déclarations du Proviseur, I. D. aurait même indiqué que le mari d'A. S. écoulait ses substances illicites depuis leur domicile et collaborait avec d'autres individus condamnés à la prison de Mbour.

Furieuse, A. S. a immédiatement confronté I. D., qui a maintenu ses accusations. Plusieurs personnes ont tenté d'intervenir pour établir une médiation afin de régler cette affaire à l'amiable et d'éviter de nuire à l'image de l'école. Toutefois, A. S. a demandé à l'intendant de révéler l'identité de la personne ayant diffusé ces accusations, ce qu'I. D. a refusé de faire, préférant protéger sa source.

Estimant que son honneur et sa dignité sont en jeu, A. S. a finalement pris la décision de déposer une plainte pour diffamation et fausses accusations. Les parties concernées devront bientôt se présenter devant le Procureur de Mbour pour faire face à cette affaire qui a secoué la communauté éducative.

Le Lycée de Saly Portudal est en émoi après qu'une professeure d'Éducation physique et sportive (EPS) ait décidé de porter plainte contre l'intendant de l'établissement. Cette décision fait suite à de graves accusations visant son mari, liées à un large réseau de trafic de drogue sur la Petite Côte.

Saly : une prof' d'EPS porte plainte contre un intendant qui accuse son mari de dealer

Le principal suspect, A. Diallo, originaire de Conakry (Guinée), est accusé d'avoir tué un homme lors d'une violente altercation. Son voisin de chambre, également guinéen, a été arrêté et est poursuivi pour offre et cession de drogue, après que Diallo l'a désigné comme responsable d'un stock de haschich et de résidus de chanvre indien découverts lors de la perquisition.

Les événements tragiques ont débuté autour d'une vente de moto d'occasion. Selon L'Observateur, le 8 novembre, vers 21 heures, la police a été alertée d'une violente bagarre à la Cité des Eaux. À leur arrivée, les agents ont trouvé le corps sans vie d'un homme gisant dans une mare de sang.&nbsp;

Les témoins ont rapporté avoir vu la victime tomber lourdement, frappée par un objet contondant. Le suspect aurait ensuite recouvert la tête de la victime avec un morceau de tissu avant de s'enfuir. Grâce à un portrait-robot établi par des témoins, Diallo a été appréhendé peu après au rond-point EMG..

Face aux enquêteurs, Diallo a reconnu les faits, identifiant la victime sous le nom de Minoss. Il a expliqué que Minoss avait initialement acheté la moto pour 80 000 F CFA, mais avait ensuite demandé le remboursement, ce qui aurait provoqué leur altercation. Diallo a tenté de se dédouaner en affirmant qu'il n'avait pas causé de blessures mortelles à la victime.

Cependant, les résultats de l'enquête contredisent ses déclarations, puisque la victime a été poignardée à la carotide droite. L'arme du crime, une paire de ciseaux, a été retrouvée dans la malle de la moto.

Lors de la perquisition de la chambre de Diallo, les policiers ont également découvert une paire de chaussures tachées de sang, ainsi que 31 boules de haschich et des restes de chanvre indien en vrac.

Les deux suspects ont été déférés à l'issue de leur garde-à-vue, et l'enquête se poursuit sous la direction du commissaire Kimintang Ndoa.

Les policiers du commissariat de Biscuiterie-HLM ont procédé à deux arrestations dans le cadre d'une affaire de meurtre survenue à la Cité des Eaux.

Meurtre à la Cité des eaux : le principal suspect et son voisin arrêtés

M. S., un étudiant de 22 ans, a été jugé le mardi 12 novembre par le Tribunal de Pikine pour collecte illicite de données personnelles et menace de diffusion d'images et de vidéos obtenues frauduleusement de son ex-petite amie, N. M. T..

Suite à leur rupture, M.S., incapable d'accepter la séparation, a concocté un plan machiavélique. En utilisant un numéro de téléphone inconnu, il a tenté de convaincre sa victime qu'il possédait des vidéos compromettantes d'elle, menaçant de les publier si elle refusait de le rencontrer pour une relation sexuelle.

Selon le journal L'Observateur, la situation a dégénéré après que N. M. T., âgée de 20 ans, a décidé de mettre fin à leur relation après quelques mois. Ne supportant pas cette décision, Seck a multiplié les tentatives pour la reconquérir, mais sans succès.

Fatigué d'essayer de la convaincre par des moyens affectifs, il a fouillé dans le téléphone de sa victime pour retrouver des images intimes qu'ils avaient partagées. Il a ensuite décidé de se faire passer pour un inconnu, utilisant une voix modifiée pour l'appeler et lui faire croire qu'il détenait des photos compromettantes.

Il menace de publier les photos de sa copine si elle refusait de le rencontrer pour une relation sexuelle

Au cours de l'appel, alors qu'il décrivait les images pour l'intimider, N.. M. T. a commencé à se souvenir des vidéos qu'elle avait partagées avec son ex. Le maître chanteur lui a alors proposé d'effacer les contenus indécents à condition qu'elle accepte de le rencontrer pour une partie de jambes en l'air. Se montrant de plus en plus menaçant, il a ajouté qu'il diffuserait les vidéos sur les réseaux sociaux si elle ne s'exécutait pas.

Face à ces menaces, N.. M. T. a décidé de bloquer son numéro et a immédiatement contacté Seck pour lui demander s'il avait partagé ses vidéos. Ce dernier a prétendu qu'il allait enquêter sur la situation. Cependant, le maître chanteur a continué à la harceler via l'application Messenger, demandant à N. M. T.de débloquer son numéro.

Seck, inquiet pour sa réputation, a rassuré son ex en prétendant connaître l'identité de l'individu qui la menaçait, tout en lui conseillant de répondre à l'invitation pour éviter la diffusion de ses images intimes.&nbsp;

Finalement, N. M. T. a décidé de porter plainte et a collaboré avec la police pour piéger M. S. Il a proposé de l'accompagner à une rencontre avec le maître chanteur dans une auberge à Tivaouane Peulh. À son arrivée, il a été surpris de découvrir qu'il était lui-même la cible de l'opération. Il a été arrêté et placé en garde à vue.

Comment l'étudiant a été piégé

Lors du procès, la défense a soutenu qu'il n'y avait pas de preuves tangibles contre Seck, arguant que la partie civile avait collecté ses propres données avant de les transmettre à un inconnu. Cependant, le tribunal a estimé qu'il y avait suffisamment d'éléments pour condamner M. S. à deux mois de prison ferme, selon les informations rapportées par L'Observateur.

Abandonné par sa petite amie, l'étudiant M. S. s’est transformé en un maître chanteur en menaçant de publier les photos indécentes de cette dernière si elle refusait de le rencontrer pour une relation sexuelle.

Sa petite amie le quitte, l'étudiant menace de publier ses photos indécentes

Dans un acte désespéré visant à financer le "yebbi" (Cette tradition visant à raffermir les liens entre la mariée et sa belle-famille est devenue une charge écrasante pour les mères des épouses) du baptême de sa sœur, une femme de 53 ans, identifiée sous les initiales M.N., a été jugée au tribunal des flagrants délits de Thiès après avoir orchestré une escroquerie habile mais vite démasquée.

Dépourvue de ressources, M.N. a élaboré un plan pour obtenir des tissus de luxe sans débourser un centime. Elle s'est dirigée vers le magasin d'O.K., une commerçante, où, après quelques échanges, elle a été mise en contact avec une vendeuse de tissus, S.F. Pour gagner la confiance de cette dernière, M.N. a feint d'être la sœur de O.K. et a prétendu qu'elle avait besoin de tissus pour le baptême imminent de sa sœur, comme le rapporte L'Observateur.

Elle a élaboré un plan pour obtenir des tissus de luxe sans débourser un centime

Dans le magasin, M.N. a minutieusement examiné les produits avant de choisir quatre tissus "thioup". Lorsque S.F. lui a demandé le règlement, M.N. a soutenu qu'elle remettrait l'argent à sa supposée sœur O.K. pour qu'elle le transmette par la suite. Confiant dans sa version des faits, S.F. a laissé partir M.N. avec les tissus.

Cependant, des soupçons se sont rapidement accrus. Peu de temps après, S.F. a contacté O.K. pour discuter de la transaction. À sa grande surprise, O.K. a nié toute connexion avec M.N., révélant ainsi la tromperie. Réalisant qu'elle avait été trompée, S.F. a porté plainte à la gendarmerie.

Cinq jours plus tard, le destin a voulu que S.F. croise M.N. dans son quartier. Lorsqu'elle l'a aperçue, M.N. a pris la fuite et s'est barricadée chez elle. S.F. a alors immédiatement prévenu la gendarmerie, qui est intervenue et a arrêté M.N.

Face au tribunal des flagrants délits de Thiès, M.N. a reconnu les faits, affirmant avoir agi par obligation. Toutefois, les juges ont estimé que ses actes étaient le résultat d'une fraude préméditée. Elle a finalement été condamnée à un mois de prison ferme.

Elle a été condamnée à un mois de prison ferme

Cette affaire souligne la nécessité de demeurer vigilant lors des transactions commerciales et met en avant les difficultés sociales qui peuvent pousser certains à commettre des actes délictueux.

Cela s'est passé à Thiès : une mère de famille condamnée pour avoir escroqué un magasin de tissus pour le baptême de sa sœur.

Pour le "yebbi" de sa sœur, elle "braque" un magasin de tissus

Le prévenu risque une peine de 5 ans de prison ferme, une sanction requise par le parquet, accompagnée d'une amende de 300 000 F CFA. Dans son réquisitoire, le Procureur, cité par le journal Les Échos, a qualifié les faits d’« extrêmes gravité », soulignant que M. Sow « refuse de s'amender » malgré ses deux précédentes condamnations pour des infractions similaires, ce qui le classe parmi les multirécidivistes.

Le 13 juillet 2020, M. Sow a été interpellé à la Médina après avoir été trouvé en possession de 12 pierres de cocaïne et 12 autres d'héroïne. Selon les informations rapportées par le journal, ses clients, A. Ndiaye et A. Fall, ont fourni des éléments à charge contre lui.

Face aux enquêteurs, Sow a reconnu les faits, admettant que la drogue retrouvée était destinée à la vente. Il a précisé que la pierre de cocaïne était cédée à 3 000 F CFA et celle de l'héroïne à 2 500 F CFA, ce qui a conduit à son inculpation pour offre et cession de drogue.

Depuis son arrestation, M. Sow est en détention provisoire. Lors de son passage devant le Tribunal correctionnel de Dakar, il a changé de version, niant toute intention de trafic. « Cette quantité était destinée à ma consommation personnelle. J'ai acheté la cocaïne à 20 000 F CFA et l'héroïne à 15 000 F CFA. Pour chacune de ces drogues, j'avais acheté 10 pierres, mais le surplus m'a été offert par mon fournisseur. Je suis un consommateur et non un trafiquant », a-t-il déclaré.

M. Sow, électricien de profession et multirécidiviste, sera fixé sur son sort le 5 décembre prochain, date à laquelle le tribunal rendra son délibéré concernant des accusations d'<a href="https://www.pulse.sn/news/societe/drogues-1-tonne-saisie-en-5-mois-pour-112-milliards-fcfa-9-pour-596-milliards-en-2/clcl736">offre et de cession de drogue.</a>

Trafic de cocaïne : un électricien multirécidiviste tombe

À Guédiawaye, la brigade de recherches du commissariat central a mis un terme à un réseau de trafic de stupéfiants, aboutissant à l'arrestation de Ch. Gaye, chauffeur, et I. T. Coly, aviculteur.

Selon les informations rapportées par Les Échos, les deux suspects ont été appréhendés en pleine « transaction commerciale » de résine de cannabis, dans le quartier Cfa.

Alertés de l'existence de ce réseau, les enquêteurs ont rapidement réagi. En se déguisant en civils, ils ont d'abord rassemblé des informations avant de se rendre sur les lieux dépêchés.

Pour maximiser leurs chances de succès, ils ont discrètement localisé le quartier général des trafiquants, désigné comme « terrain Cfa », et ont mis en place un dispositif de surveillance.

Gaye et Coly, considérés comme les instigateurs de ce trafic, ont été identifiés grâce aux signalements d'autres suspects

Un réseau de trafic de cannabis à été démantelé à Guédiawaye par la Police. Deux suspects ont été interpellés.

Démantèlement d'un réseau de trafic de cannabis à Guédiawaye

Suite à l’arrestation de son assistant, Cheikh Tidiane Ndiaye, du gardien, Djiby Sow, et de l’animateur El Hadji Sène, ces derniers ont été signalés comme portés disparus, ce qui complique davantage la situation judiciaire de leur patronne.

Accusés d'avoir dissimulé les corps de deux bébés décédés au sein de la pouponnière, ils avaient initialement obtenu une liberté provisoire. Toutefois, la fuite de ce trio a conduit le magistrat en charge du dossier à établir un procès-verbal de carence. Ce document, qui sera contresigné par le juge d’instruction, pourrait avoir des conséquences défavorables pour Ndella Madior Diouf.

Les inquiétudes du juge quant à une possible fuite de Diouf, suite à celle de ses complices, risquent de compromettre ses demandes répétées de liberté provisoire, dont la dernière a été déposée le 30 octobre sans succès. Cette évolution souligne la complexité et la gravité de cette affaire, ainsi que les ramifications juridiques pour les protagonistes impliqués.

"Ils sont en fuite"

Dans cette affaire, il faut rappeler que l'enquête de la Sûreté urbaine a révélé que le nombre de décès de bébés est passé de 3 à 6 nourrissons. Il s'agit des bébés Zolleinka Ndella Madior Diouf,&nbsp;<a href="https://www.pulse.sn/news/societe/keur-yeurmande-bebe-akon-etait-lenfant-dune-prostituee/4qkckdn">Akon Anta Sarr</a>&nbsp;Bijou Ngoné, Youssou Ndour, Mohamed Samba Ndiobène Kâ et Marema.

Certains bébés sont morts à la pouponnière "Keur Yeurmandé", d'autres sont décédés à l'hôpital Albert Royer, à Dalal Jamm, à Samu Municipal ou à la clinique Amitié. Ces décès ont eu lieu au mois d'octobre 2023. Pis, l'enquête a permis de dévoiler que les six bébés décédés ont été enterrés clandestinement. Et c'est l'animateur de la radio Saphir FM, qui se chargeait de l'inhumation des nourrissons.

Ndella Madior Diouf signait personnellement les actes de décès

Encore plus grave, l'enquête a révélé que&nbsp;<a href="https://www.pulse.sn/news/societe/avortements-clandestins-lautre-horrible-decouverte-a-la-pouponniere-keur-yeurmande/t1yvrb5">Ndella Madior Diouf signait les actes de décès des enfants</a>&nbsp;à travers sa structure de santé dénommé SOS. Dans la foulée, un de ses animateurs de la radio Saphir FM, EL Sène était charger de l'enterrement des bébés. Arrêté, il est placé en garde à vue à la Sûreté urbaine de Dakar.

L’affaire <a href="https://www.pulse.sn/news/societe/affaire-ndella-madior-diouf-les-nounous-deballent-de-graves-revelations/x5z31q3">Keur Yeurmandé </a>prend un nouveau tournant pour Ndella Madior Diouf&nbsp;

Affaire Keur Yeurmandé : 3 employés de Ndella Madior portés disparus

A. Dia, surnommé « Amadiang », a été arrêté à Niaguis, mettant fin à sa cavale qui durait depuis juin 2023. Le journal Libération rapporte que ce <a href="https://www.pulse.sn/sports/football/saint-louis-lancien-gardien-de-la-linguere-arrete-pour-vol-de-betail/xzlwml7">voleur de bétail </a> redouté était activement recherché suite à plusieurs plaintes, dont celle d'un éleveur dont 150 bovins avaient été dérobés.

L'éleveur, en quête de ses animaux, a signalé avoir retrouvé deux de ses bœufs solidement attachés à un arbre. En gardant l'œil sur les lieux, il a surpris deux complices qui s'approchaient pour détacher les bêtes.

Malheureusement, ces derniers ont réussi à s'enfuir et à alerter A. Dia, qui a rapidement pris la fuite, sautant par-dessus un mur.

Les forces de gendarmerie de Niaguis, sous la direction de l'adjudant Ndao, ont été alertées et ont récupéré les animaux volés, retrouvés dans l'enclos d'A. Dia. Ce dernier, s'étant réfugié en Guinée-Bissau, a été appréhendé dès son retour dans le village en Casamance.

A. Dia, un <a href="https://www.pulse.sn/news/societe/tivaouane-un-vol-de-betail-vire-au-drame/2hp41mq">voleur de bétail</a> notoire a été arrêté après une longue cavale.

Niaguis : le redoutable voleur de bétail tombe enfin

Selon les informations rapportées par le journal Les Échos, le suspect, identifié comme A. L. S., aurait profité de l'absence de son épouse pour se retrouver avec la jeune fille dans leur chambre conjugale, où il aurait abusé d'elle.

Les accusations précisent qu'après avoir commis l'acte, il aurait tenté de dissuader la victime de parler en lui demandant de garder le silence. Effrayée, la fillette n'a pas osé dénoncer les agissements de son agresseur.

Cependant, sa tante a remarqué des signes préoccupants, notamment une odeur inhabituelle provenant des parties intimes de la jeune fille lorsqu'elle urinait. Inquiète, elle a décidé de l'amener chez sa patronne pour confronter le couple.

Face à des questions insistantes, la jeune fille, F. S., a d'abord refusé de s'exprimer, mais a fini par craquer sous la pression et a révélé qu'elle avait été violée par le mari de sa patronne. La tante, alarmée par cette confession, a conduit F. S. chez un gynécologue, qui a confirmé la perte de l'hymen de la jeune fille.

Ce que révèle le rapport gynécologique

Suite à cette découverte, la tante a intensifié ses interrogations, menaçant de prendre des mesures sévères si la fillette ne parlait pas. Finalement, F. S. a accusé le mari de sa patronne. Une plainte a été déposée, entraînant l'intervention rapide des autorités. Le présumé violeur a été arrêté et placé en garde à vue, malgré ses dénégations.

À Guédiawaye, un homme a été arrêté et déféré au Parquet pour avoir violé une mineure de 13 ans, la domestique de sa femme.

Guédiawaye : un homme viole sa domestique de 13 ans

Le général de brigade Issakha Acheikh Chanane, porte-parole de l'armée, a déclaré : "Malheureusement, les forces de défense et de sécurité déplorent 15 militaires tombés sur le champ d'honneur, et 32 blessés, tous évacués à N'Djamena pour des soins appropriés."

Parmi les victimes, plusieurs hauts gradés seraient présents, comme l'ont rapporté des médias locaux relayant des listes de militaires tués ou blessés dans ces échanges violents. Des pages Facebook liées à l'ethnie zaghawa, à laquelle appartient également le président Mahamat Idriss Déby, ont annoncé dimanche la mort d'une dizaine d'officiers de leur communauté durant ces combats.

L'état-major avait préalablement signalé que "plusieurs éléments terroristes avaient été neutralisés" et qu’un bilan serait communiqué plus tard. Le président Déby a exprimé ses condoléances aux familles des "martyrs tombés en défendant la patrie" sur sa page Facebook, sans fournir de détails supplémentaires sur le bilan.

Cette escalade de violence suit une attaque le mois dernier, où Boko Haram avait ciblé une base militaire dans la région, causant la mort d'une quarantaine de personnes, selon des sources officielles.

La dernière confrontation s’est produite samedi à 15 heures locales sur l’île de Karia, au nord-ouest de Kaigakindjiria. Elle a eu lieu peu après le départ du président de Barkaram, où il avait établi son état-major. Les forces tchadiennes sont régulièrement la cible d'attaques menées par Boko Haram dans cette région du Lac Tchad.

Il est à rappeler qu’en mars 2020, une offensive menée par Boko Haram contre une base militaire avait coûté la vie à près d'une centaine de soldats, engendrant les pertes les plus lourdes jamais subies par l'armée tchadienne. Le maréchal Idriss Déby, qui a dirigé le pays pendant 30 ans, était connu pour sa présence active sur le terrain et a été tué par des rebelles en 2021.&nbsp;

Son fils, le général Mahamat Idriss Déby, a récemment modifié la Constitution par référendum et a été élu président en mai 2024, alors que des élections législatives sont prévues pour fin décembre, malgré les inquiétudes de l'opposition concernant leur transparence.

Quinze militaires tchadiens ont perdu la vie lors d’un "accrochage" survenu samedi entre l'armée et des jihadistes de Boko Haram, un combat qui a également fait 32 blessés, selon un communiqué de l'état-major publié dimanche.

15 militaires tchadiens tués face aux jihadistes

Dans le cadre de ses missions de sécurité, le 34e bataillon d’infanterie de Kédougou intensifie ses efforts sur le terrain. Récemment, les forces armées ont mis un terme à des activités illégales liées à l'exploitation minière et à l'atteinte à l'environnement.

Ainsi, lors d'une patrouille, elles ont démantelé un site d’orpaillage clandestin situé à Sékhéto, le long de la rivière Falémé, dans la commune de Bembou. Cette opération, menée avant-hier, a permis à l'armée de saisir 37 motopompes, des groupes électrogènes, des motos, et divers autres équipements utilisés pour ces activités illicites.

Ces patrouilles régulières visent non seulement à sécuriser la zone le long de la Falémé, mais aussi à veiller à l’application du décret présidentiel interdisant toute exploitation minière à moins de cinq cent mètres du fleuve.

A Kédougou, l’armée a démantelé un<a href="https://www.pulse.sn/news/societe/larmee-demantele-un-site-dorpaillage-clandestin/zf7jkgx"> site d’orpaillage </a>clandestin à Sékhéto

Kédougou : l’armée démantèle un site d’orpaillage clandestin

Originaire de Diattacounda, un village de Sédhiou, Roger Sadio était en service au Premier bataillon de Dakar, selon les informations rapportées par Libération dans son édition de ce lundi.

La victime était venue passer ses congés auprès de son frère, qui, au moment des faits, se trouvait à Cap-Skirring pour des obligations professionnelles. C’est un voisin qui a fait la macabre découverte de son corps sans vie aux alentours de 14 h 30 et qui a immédiatement alerté le frère du militaire ainsi que le voisinage.

La victime était venue passer ses congés auprès de son frère

D’après les mêmes sources, Roger Sadio avait laissé un message, retrouvé à côté de son lit. La dépouille a ensuite été transférée à l’hôpital régional de Ziguinchor, et une enquête a été ouverte pour éclaircir les circonstances de cette tragédie.

Un <a href="https://www.pulse.sn/news/societe/casamance-un-militaire-abat-un-habitant-arme-lors-dune-intervention/p3vx1wf">militaire </a>nommé Roger Sadio a été découvert pendu dans la chambre de son frère, samedi dernier, au quartier Néma 2 de Ziguinchor.

Ziguinchor : un militaire retrouvé mort dans des circonstances troublantes

Le Réseau National des Femmes Travailleuses du Sénégal (RENAFES) a organisé un forum de haut niveau le 8 novembre, visant à promouvoir la participation équitable et effective des femmes dans les instances de décision.&nbsp;

L'événement avait pour objectif de renforcer les acquis tout en formulant des stratégies pour protéger la maternité, favoriser le financement vert et valoriser le travail domestique ainsi que les soins non rémunérés.

Plus de 110 femmes venues de différentes régions du Sénégal ont participé à cette rencontre, parrainée par Mamadou Racine Sy, directeur général du King Fhad Palace et président du conseil d’administration de l’IPRES.

Dans son discours, Fatoumata Binta Yafa, présidente du RENAFES, a souligné l'importance de ce forum pour élaborer des stratégies visant à améliorer la représentation des femmes dans les instances décisionnelles. Elle a également promis que l'organisation se pencherait sur les raisons de la faible présence féminine dans ces sphères.

Fatoumata Binta Yafa a évoqué plusieurs obstacles à l'accès des femmes aux postes décisionnels, notamment le manque de crèches adaptées, tant communautaires qu'en entreprise, qui permettraient aux mères actives de travailler sereinement.

110 femmes venues de différentes régions du Sénégal ont participé à cette rencontre

Elle a également souligné l'importance de la formation et de l'éducation pour permettre aux femmes de se préparer à ces rôles. De plus, elle a noté que le travail des femmes dans le foyer n'est pas pris en compte dans le PIB, ce qui nécessite des débats pour valoriser leur contribution.

Elle a encouragé les femmes à s'investir pleinement dans leur travail et à démontrer leurs compétences, affirmant que cela est crucial pour leur autonomisation. "Nous sommes reconnues, mais nous devons aussi être présentes dans les sphères décisionnelles. Nous devons mener des plaidoyers pour que l'État prenne conscience de notre rôle essentiel", a-t-elle déclaré.

Le RENAFES prévoit également d'accompagner les femmes travailleuses à travers des projets de création de coopératives et de groupements d'achats, afin de faciliter l'accès au financement et d'améliorer leurs conditions de travail.

"Nous comptons aider les femmes à devenir autonomes et à avoir accès à des financements, avec pour objectif de contrôler certaines banques et mutuelles de santé dans les cinq prochaines années", a précisé Fatoumata Binta Yafa.

Consciente du rôle crucial des médias dans cette lutte, elle a invité les journalistes à s'associer à leur cause, en les encourageant à comprendre les enjeux liés à l'autonomisation des femmes. "Nous avons besoin de femmes journalistes qui comprennent le monde du travail et qui souhaitent collaborer avec nous pour améliorer nos initiatives", a-t-elle ajouté.

Le RENAFES continue de se mobiliser pour réfléchir à l'apport des femmes dans le développement, l'économie et la démocratie au Sénégal.

Le RENAFES s’engage pour l’accès des femmes aux postes décisionnels au Sénégal*

Le RENAFES pour l’accès des femmes aux postes décisionnels

Les gendarmes ont réussi à empêcher le départ d'une embarcation transportant plus d'une centaine de jeunes candidats à l'immigration irrégulière, mercredi 6 novembre vers 12 h 30, dans le village de Niafran, situé dans la commune de Kafountine (département de Bignona).&nbsp;

Alors qu'ils prenaient la fuite, les candidats ont abandonné leurs provisions ainsi que plus de 2.500 litres de carburant. Selon le journal Libération, alertés par des informations concernant le départ de ces jeunes, les gendarmes se sont rendus immédiatement à Niafran, dans l'arrondissement de Kataba 1.&nbsp;

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Les candidats, comprenant des Sénégalais, des Gambiens et des Bissau-guinéens, ont tous pris la fuite en compagnie de leur convoyeur et du capitaine de l'embarcation. Lors de leur fuite, ils ont laissé derrière eux des sacs contenant des vêtements et d'autres provisions. Les personnes soupçonnées d'être impliquées dans cette opération illégale ont été interpellées, mais ont nié les accusations qui pèsent contre elles.

A Niafran,<a href="https://www.pulse.sn/news/societe/un-depart-de-migrants-dejoue-un-burkinabe-et-une-fille-de-6-ans-impliques/cdkbb6h"> la gendarmerie a intercepté une tentative de départ d'embarcation avec plus de 100 jeunes</a>

Kafountine : un nouveau départ de migrants déjoué

Le commissariat urbain de Richard-Toll a procédé au démantèlement d'un réseau de prostitution, entraînant la fermeture d'une maison close située près des cimetières. Sous la direction du lieutenant Bachir Ndao, les forces de l'ordre ont arrêté 12 personnes.

une fille noire avec un air de prostituée s'apprêtant à monter dans une voiture

9 prostituées, dont 2 Sénégalaises et 7 Nigérianes, ainsi qu’un proxénète d'origine togolaise. Ils ont été présentés ce vendredi au tribunal de grande instance de Saint-Louis pour des infractions telles que l'outrage public à la pudeur, le proxénétisme et la tenue d’une maison close, selon des sources de Seneweb proches du parquet.

9 prostituées, dont 2 Sénégalaises, 7 Nigérianes et un proxénète d'origine togolaise arrêtées

Cette opération a été accueillie favorablement par les habitants de Richard-Toll, qui avaient exprimé leur indignation face à l’installation de cette maison close par un ressortissant togolais à proximité des lieux de recueillement.

A Richard-Toll, une maison close à proximité des cimetières a été fermée par la Police. Il y a eu 12 arrestations.

Richard-Toll : une "maison de passe" près des cimetières fermée

Ces interventions ont abouti à des arrestations significatives et à la confiscation de grandes quantités de stupéfiants.

À Soumbédioune, les agents de sécurité ont interpellé deux suspects, Ch. S. Barry et A. Diarra, alors qu'ils transportaient 170 kg de <a href="https://www.pulse.sn/news/societe/un-homme-arrete-avec-100-kg-de-chanvre-indien-dans-la-foret-de-karang/tl113cv">chanvre indien</a>. Les investigations menées par les autorités ont permis d'identifier leur complice, D. Teuw, un trafiquant déjà bien connu des services de police, comme rapporté par "LeSoleil-Digital".

À Rufisque, A. Lâ et M. Guèye ont été arrêtés en possession de trois sacs contenant 100 kg de chanvre indien, découverts près de la plage de Diokoul. De plus, un sac abandonné sur la Corniche ouest, proche d'un véhicule déjà sous surveillance, a été saisi, contenant 31 kg de cannabis.

Un sac abandonné sur la Corniche ouest, proche d'un véhicule déjà sous surveillance

Tous les stupéfiants ont été confisqués et les quatre suspects ont été placés en garde-à-vue pour trafic de drogue. Les enquêteurs poursuivent leurs investigations pour démanteler les réseaux criminels en lien avec ces activités illicites.

ZIGUINCHOR : 120 KILOS DE CHANVRE INDIEN SAISIS PAR LES DOUANES

Cette opération fait partie d'une stratégie globale des autorités sénégalaises pour renforcer la lutte contre le trafic de drogue et garantir la sécurité des citoyens, réaffirmant ainsi leur engagement à intensifier les actions de sécurité. Les enquêtes sont en cours

Dans la nuit du 6 au 7 novembre 2024, les commissariats de la Médina, de Rufisque et du Point E ont unis leurs forces pour mener une série d'opérations ciblées visant à contrer l'insécurité et le <a href="https://www.pulse.sn/news/societe/un-reseau-de-trafic-de-drogue-demantele-a-thiaroye/txx8g4d">trafic de drogue. </a>

Opérations anti-drogue : arrestations et saisies à la Médina, Rufisque et au Point E

Alors qu'ils revenaient accueillir la caravane électorale conduite par Sidiki Kaba, le chauffeur a eu la présence d'esprit d'immobiliser le véhicule, permettant ainsi à tous les passagers de s'échapper en toute sécurité. Heureusement, aucun blessé n'est à déplorer, mais le bus a été entièrement consumé par les flammes.&nbsp;

Aucun blessé, mais le bus a été entièrement consumé par les flammes

L'origine de ce sinistre serait attribuée à une défaillance électrique. D’après les informations relayées par "Seneweb", ces militants, originaires des communes de Guiro Yoro Bocar et de Salikégné, étaient mobilisés pour soutenir leur candidat lors des Législatives anticipées prévues pour le 17 novembre prochain.

Traditionnellement soutenus par le ministre Moussa Baldé, tête de liste départementale de la coalition Takku Wallu, ces militants du secteur rural ont renforcé leur engagement envers cette coalition.

Le Pr. Baldé a toujours pu compter sur le soutien du monde rural lors des précédentes échéances électorales, une région qu'il a bien connue alors qu'il était Directeur Général de la SODAGRI en 2013 et plus tard, ministre de l'Agriculture.

Un incident dramatique a été évité sur l'axe Kolda - Salikégné, dans la commune rurale de Guiro Yoro Bocar, lorsqu'un bus transportant des militants de la<a href="https://www.pulse.sn/news/politique/legislatives-la-liste-de-macky-sall-au-bord-de-limplosion/gh00lkk"> coalition nationale Takku Wallu </a>a pris feu au retour d'un rassemblement à Kolda.

Kolda: un bus de militants de Takku -Wallu prend feu

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