&format=webp)
La police de Wakhinane Nimzatt a mis hors d’état de nuire un présumé pédophile. Tout a commencé mercredi 24 avril 2024, vers 18 h. Une gamine effectue une commission de ses parents au marché Boubess de Guédiawaye. Chemin faisant, elle croise un individu nommé M. D. qui l’intercepte et demande à lui parler. D'après le récit de Les Echos, la petite refuse et tente de poursuivre son chemin. Le quidam revient à la charge et déclare vouloir prendre ses mesures dans un atelier de tailleur dans le but de faire coudre des habits en guise de cadeau à sa fille, qui a la même taille que celle-ci et qui fête son anniversaire.
&format=webp)
viol-congo
- Le pédophile : « J’ai un faible pour les petites filles »
Convaincue, la demoiselle accepte la proposition du jeune homme et se met aussitôt en route avec lui. Ce dernier lui tient alors la main et s’engouffre avec elle dans les dédales des quartiers. Il engage une conversation à bâtons rompus avec elle, histoire de l’appâter. Il avale les rues des localités et s’éloigne davantage de son lieu de rencontre avec la gamine.
&format=webp)
&format=webp)
&format=webp)
&format=webp)
pédophilie
Intriguée du long parcours, la petite se braque, s’arrête brusquement devant une pharmacie et interpelle le quidam. Elle s’inquiète de l’emplacement lointain de l’atelier de couture et renonce. Le jeune homme intervient et s’emploie à manœuvrer la fillette, qui campe sur sa position et tente de reprendre le chemin inverse pour effectuer la commission de ses parents.
- Un passant le démasque et le conduit à la police
Une discussion éclate. Un passant tombe sur la scène, soupçonne des desseins inavoués du gus avec la mineure et intervient. Il saisit la main de la fille et interpelle le jeune homme, qui affirme conduire cette dernière dans un atelier de tailleur pour prendre ses mensurations. Il file ensuite un numéro de téléphone au passant et lui déclare être celui du tailleur en question. Ce dernier compose le numéro de téléphone et tombe sur une dame, qui dément le gus.
&format=webp)
violences conjugales
Le passant soupçonne le garçon et le conduit avec la petite au poste de police de Wakhinane Nimzatt. Interrogé, il dit avoir menti à la fillette. Il soutient avoir voulu emmener la demoiselle dans un endroit pour lui faire des caresses, puis entretenir des relations sexuelles avec elle. « J’ai un faible pour les petites filles », affirme le mis en cause.