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Les quatre choses à savoir sur le Sénégalais Mouhamed Guèye abattu à Ajaccio

À la suite d'une nouvelle communication du parquet et à l'heure de l'ouverture d'une information judiciaire, il est établi que Mouhamed Gueye, abattu par la police sur le cours Napoléon à Ajaccio alors qu'il menaçait passants et commerçants avec un couteau, disposait d'une fausse carte d'identité Belge. En mars 2025, il avait été hospitalisé sous contrainte en raison d'une psychose.
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  • Mouhamed Gueye était rentré en France en 2020 avec un visa étudiant pour des études de génie électronique

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Face à la presse, le procureur de la République d'Ajaccio a dressé le profil de l'assaillant Mouhamed Guèye abattu par la police. Le parquet indique que les investigations ont permis d'établir que Mouhamed Gueye était rentré en France en septembre 2020 avec un visa étudiant pour des études de génie électronique, visa renouvelé en 2023, et disposait d’une fausse carte d’identité de nationalité Belge.

  • La victime disposait une fausse cartite d'identité belge

"En avril 2023 et juin 2024, il avait travaillé en tant que commis de cuisine dans deux établissements de Haute-Corse. Depuis le mois de mai 2025, il avait travaillé comme commis de cuisine dans différents établissements d’Ajaccio et s’apprêtait à retourner sur Paris", précise-t-il dans son communiqué. Pour l'heure, il est établi que Mouhamed Gueye disposait d'une fausse carte d'identité de nationalité Belge. 

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  • Il fut commis de cuisine dans deux établissements de Haute-Corse

On sait désormais qu'il était entré en France en septembre 2020. Il avait alors bénéficié d'un visa étudiant afin de suivre un cursus d'études en génie électronique. Son visa avait été renouvelé en 2023. En avril 2023 et juin 2024, il avait travaillé en tant que commis de cuisine dans deux établissements de Haute-Corse. 

L'homme est connu pour ses antécédents psychiatriques

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Il était sur le point de retourner à Paris. L'homme est connu pour ses antécédents psychiatriques. Il avait fréquenté différents établissements hospitaliers parisiens. Le dernier épisode remonte au mois de mars 2025, période durant laquelle, il avait été hospitalisé sous contrainte en raison d'une psychose évoluant sur fond de polytoxicomanie

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