Le procureur qui s’est opposé à leur libération, a interjeté, rapporte Le Soleil. Pour rappel, ces agents étaient sortis dans la rue pour exiger de meilleures conditions de travail et la reprise des 18 délégués dont les contrats avaient été arrêtés par l’usine. A la fin de leur point de presse, ils avaient barré la Route nationale et brûlé des pneus pour exiger plus de considération.