Avortement clandestin à Bakel: une élève en classe de seconde écope d'un mois de prison
12 mai 2024 à 19:04L’élève âgée de 19 ans en classe de seconde au Lycée de Diawara a été condamnée à un mois assorti de sursis pour une interruption clandestine d’une grossesse de 14 semaines.Arrestation (Illustration)
Cette rocambolesque histoire de mœurs a suscité l'indignation dans à Diawara. Elle remonte à la semaine dernière. Une élève en classe de 2nde du nom de M. S âgée de 19 ans fiancée à un émigré a été engrossée par son petit ami. Ne pouvant plus supporter cette honte, la lycéenne a interrompu sa grossesse.
Elle a été démasquée par un médecin gynécologue, alors qu'elle a été admise dans la structure sanitaire de la localité à la suite des complications liées à la prise des médicaments. Elle se tordait de douleurs.
Avortements Medocs
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Informés, les éléments de la gendarmerie de la localité se sont transportés aussitôt sur les lieux indiqués. Après enquête, M. S a été interpellée et interrogée. Elle a fini par avouer son forfait. Elle a déclaré qu'elle est fiancée à un émigré et qu'elle a contracté une grossesse dont l’auteur est son petit ami. Ce dernier n'a pas reconnu la paternité insinuant que la fille n'était pas fidèle avec lui.
Ibrahima Diop, fils de l’ancien procureur de la République près le tribunal de Dakar, a comparu ce mercredi devant le tribunal des flagrants délits de Pikine-Guédiawaye pour des faits d’escroquerie, abus de confiance et faux. Le tribunal l’a finalement relaxé pour les chefs d’escroquerie et de faux, mais l’a reconnu coupable d’abus de confiance, le condamnant à verser 1 500 000 F CFA de dommages et intérêts à la plaignante.
À l’issue du Conseil des ministres tenu ce mercredi 22 octobre 2025, le président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, a procédé à plusieurs nominations touchant divers départements ministériels. Ces décisions traduisent la volonté du chef de l’État de renforcer l’efficacité de l’administration publique et d’assurer une meilleure répartition des responsabilités.
Une nouvelle tragédie migratoire a endeuillé la Méditerranée ce mercredi 22 octobre 2025. Une embarcation de fortune, partie des côtes tunisiennes avec une soixantaine de migrants à bord, a chaviré près de Salakta, dans le gouvernorat de Mahdia. Quarante personnes ont perdu la vie, dont des enfants, tandis qu’une trentaine d’autres ont pu être secourues par les garde-côtes tunisiens.
Déférée, la jeune fille a été envoyée en prison. Jugée par le tribunal de grande instance de Tambacounda, elle a été reconnue coupable des faits qui lui sont reprochés. Elle a été condamnée à une peine d’un mois assorti de sursis.
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