C’est aujourd’hui lundi 28 février 2022 que sera rouvert, à la Cour d’appel en audience spéciale, le procès de l’Imam Alioune Badara Ndao et Cie. Presque quatre (4) ans après le verdict du 19 juillet 2018, les condamnés de cette affaire de terrorisme qui avaient attaqué la décision du premier juge, vont saisir cette perche de la justice afin de prouver leur innocence. Le parquet avait aussi fait appel.
Ses disciples qui dénoncent un « acharnement », sonnent déjà la mobilisation. Ils ont lancé l’opération “Goungué Imam ak libéré Sénégalais yunu tiyé si Sai Sai terrorisme”, pour le soutenir dans les moments difficiles qu’il traverse.
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Poursuivi pour «apologie du terrorisme» et «association de malfaiteurs», l’imam Alioune Badara Ndao a été relaxé en première instance. Les 29 co-prévenus, dont Makthar Diokhané, le « cerveau » présumé, ont été condamnés à des peines allant jusqu’à vingt ans de prison.
La brigade de recherches (BR) de Keur Massar a mis fin aux activités d’un salon de massage clandestin à Kounoune, qui proposait à ses clients des fellations et rapports sexuels tarifés. Quatre femmes ont été interpellées, dont la gérante, qui a tenté de corrompre les gendarmes pour échapper aux poursuites.
L’opération menée par la brigade régionale des stupéfiants de Sédhiou a permis de mettre la main sur un maçon de 60 ans, intercepté à bord d’un minibus en provenance de Dakar. L’homme transportait 20 kg de chanvre indien soigneusement dissimulés dans ses bagages.
Inculpé pour association de malfaiteurs, escroquerie sur des deniers publics et blanchiment de capitaux, l’ancien coordonnateur du Programme des Domaines Agricoles Communautaires (Prodac), Pape Malick Ndour, devra à nouveau se présenter devant le juge. Le magistrat instructeur souhaite s’assurer de la mise en œuvre effective de la mesure de surveillance électronique dont il bénéficie.
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