Des nouvelles de DSK depuis le Maroc

Dominique Strauss-Kahn fête ses 72 ans ce dimanche 25 avril. L’ancien patron du Fonds Monétaire International, désormais à la tête de sa propre société, semble désormais heureux au Maroc avec sa femme.

DSK

Après une décennie marquée par les scandales et les ennuis judiciaires, une nouvelle page semble s’ouvrir depuis quelque temps pour Dominique Strauss-Kahn. L’ancien patron du FMI et candidat à l’élection présidentielle de 2012 fête ce dimanche 25 avril ses 72 ans. L’occasion de revenir sur la vie heureuse qu’il mène aujourd’hui. Une vie à l'abri des regards et à quelques kilomètres de Casablanca, la capitale économique marocaine, comme l’expliquait Le Point dans un article paru le 25 février 2020.

Depuis 2013, l’ancien homme politique français dirige la société Parnasse International qui conseille notamment des chefs d’États africains. C’est le cas de Denis Sassou-Nguesso, président de la République du Congo, en place depuis 1979. L'entreprise de DSK fonctionne de mieux en mieux avec les années, à en croire les chiffres publiés dans un article de L’Obs, en février 2020. En cinq ans, Dominique Strauss-Kahn aurait en effet gagné près de 21 millions d’euros dont 5,3 millions d’euros en 2018. Un gain qui le placerait en treizième position du classement des rémunérations des grands patrons du CAC 40. “À l'évidence, Dominique Strauss-Kahn n'a jamais gagné autant d'argent de sa vie”, précisait d’ailleurs l'un de ses proches au magazine, l’année dernière.

Heureux avec sa compagne

En parallèle de son activité professionnelle, l’ancien ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie sous Jacques Chirac vit en compagnie de Myriam L’Aouffir. Il a épousé cette femme d’affaires franco-marocaine, âgée de 53 ans, en 2017 soit cinq ans après leur rencontre et un an après sa séparation avec la journaliste Anne Sinclair. Le couple vit désormais dans un riad situé à Marrakech.

En avril 2020, sa quatrième épouse avait accordé une interview à Gala. Dans celle-ci, elle se confiait pour la première fois sur sa vie personnelle, précisant qu’il était difficile d’être séparé de ses enfants durant le confinement, au début de l’épidémie du coronavirus. “Au Maroc, des mesures très strictes ont été rapidement mises en place. En raison de la fermeture rapide des frontières, je suis séparée de mes enfants, ce qui m'est très pénible. Je n'ai pu, ni les faire venir ici, ni les rejoindre en France : les lignes aériennes ayant subitement cessé de fonctionner.” Et d’ajouter : “J'ai tout essayé, mais il était déjà trop tard.” Une situation compliquée à gérer mais qui lui a sans doute permis de passer du temps avec son mari.

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