A preuve, en 2017, une institution publique, sous le code marché « Vs Sénégal » lui a payé près de 950.000 euros soit plus de 620 millions Fcfa pour ses conseils et services d’après les documents comptables des « Pandora papers ».
L'ancien patron du Fonds monétaire international (FMI), est épinglé par les « Pandora Papers » pour avoir domicilié ses entreprises - via lesquelles il se fait rémunérer pour ses activités de conférencier et de consultant - dans des paradis fiscaux. Le Sénégal, selon l’enquête, fait partie des terrains de chasse de Dominique Strauss-Kahn.
DSK
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Au Maroc, il est accusé d’avoir fait transiter plusieurs millions de dollars d’honoraires par une société marocaine exempte d’impôts, selon l’enquête.
“Je suis résident fiscal marocain depuis 2013 et (...) j’y paye mes impôts à hauteur de 23,8 % de mes bénéfices, soit 812.000 euros pour les années 2018, 2019 et 2020”, s’est défendu DSK sur Twitter s’agaçant que “la méchanceté devient mensonge”. “Vos équipes de professionnels auraient pu vérifier que je suis résident fiscal marocain”, écrit-il à l’attention de l’émission “Cash Investigation”.
