Affaire Dieynaba Ndiaye : Dr Alioune Badara Mbacké envoyé en prison
25 octobre 2024 à 15:21Le <a href="https://www.pulse.sn/news/societe/dr-alioune-b-mbengue-son-7e-mariage-et-ce-que-dit-lenquete-de-moralite/ep4rp28"><em>Dr Alioune Badara Mbacké</em> </a>vient d'être placé sous mandat de dépôt par le procureur de Matam pour coups et blessures volontaires avec ITT de 10 jours, menace et voies de fait. Affaire Dieynaba Ndiaye : Alioune Badara Mbacké
Les autres prévenus ont bénéficié de la liberté provisoire. Le procès est prévu le 31 octobre au tribunal de Matam.
Dieynaba Sangharé Ndiaye, la nouvelle mariée, « battue » par son mari et condamnée à trois (03) mois de prison ferme assortis de 4 millions de FCFA en guise de dommages et intérêts suite à la plainte de ce dernier pour collecte de données à caractère personnel. Son époux,
Lors de son audition rapportée par L'OBS, Dieynaba SangharéNdiaye, 26 ans, assistante juridique a fait des révélations accablantes.
Ibrahima Diop, fils de l’ancien procureur de la République près le tribunal de Dakar, a comparu ce mercredi devant le tribunal des flagrants délits de Pikine-Guédiawaye pour des faits d’escroquerie, abus de confiance et faux. Le tribunal l’a finalement relaxé pour les chefs d’escroquerie et de faux, mais l’a reconnu coupable d’abus de confiance, le condamnant à verser 1 500 000 F CFA de dommages et intérêts à la plaignante.
Le verdict est tombé ce mercredi au tribunal de grande instance hors classe de Dakar. Le rappeur Mohamed Fall alias 10 000 Problèmes et l’influenceur Lamine Kangam ont été reconnus coupables d’extorsion de fonds au préjudice du marabout Serigne Abdoulaye Faye. Ils écopent de peines de prison ferme et devront rembourser la somme extorquée.
Une nouvelle tragédie migratoire a endeuillé la Méditerranée ce mercredi 22 octobre 2025. Une embarcation de fortune, partie des côtes tunisiennes avec une soixantaine de migrants à bord, a chaviré près de Salakta, dans le gouvernorat de Mahdia. Quarante personnes ont perdu la vie, dont des enfants, tandis qu’une trentaine d’autres ont pu être secourues par les garde-côtes tunisiens.
« Nous nous sommes mariés depuis le 10 février 2024, et depuis lors, mon mari ne cesse de me faire vivre l'enfer dans le domicile conjugal », relatait-t-elle. Diewo dit avoir fait, dans un premier temps, preuve de patience et de compréhension, jusqu’à ce jour où le déchainement de violence de son mari a mis en danger sa vie.
Tout commence par une simple scène conjugale dans la nuit 15 au 16 mars dans le domicile conjugal à Matam, où elle emprunte le téléphone de son mari pour s’éclairer à la torche dans la cuisine.