Le mis en cause cherchait à contraindre la dame divorcée à entretenir des relations sexuelles avec lui, souligne le journal. Celui-ci indique que le prévenu utilisait des vidéos obscènes de la victime comme moyen de pression.
Il ressort des premiers éléments de l’enquête que M. Sow avait récupéré les fameuses vidéos dans un groupe Whatsapp dont l’ex-mari de A. Sow, établi en France, est membre. De retour à Dakar, l’ex-époux de la commerçante a été entendu par les enquêteurs. Il a soutenu avoir «malencontreusement» partagé les vidéos intimes de son ex-épouse que celle-ci lui avait envoyées lorsqu’ils étaient encore en couple.
Le mis en cause a été déféré au parquet de Matam pour diffusion de vidéos à caractère personnel, chantage et attentat aux mœurs. Avouant les faits, il s’est confondu en excuses.