Elle touche le plus souvent plus d'un adulte sur deux, la céphalée de tension est le mal de tête le plus banal. Elle est caractérisée par une douleur localisée au niveau du crâne jusqu’en haut de la nuque et une sensation de compression plus ou moins vive autour de la tête, du front et des tempes.
On a souvent tendance à les confondre et pourtant les symptômes d’un simple mal de tête ne sont pas tout à fait les mêmes que ceux d’une migraine. Différences, causes, symptômes, on vous dit comment les distinguer !
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Elle survient en cas de fatigue, de déshydratation (notamment liée à un excès d’alcool) ou une mauvaise position. Ceci n'est pas la seule raison il est également possible qu’un problème de vue, de l'arthrose des vertèbres cervicales, un début de grossesse ou la consommation de certains aliments soient responsables de ce mal de tête.
Souvent passagère (même si elle peut être chronique), elle finit par passer au bout de quelques minutes ou de quelques jours, généralement après la prise d’un antalgique. Ainsi, elle se distingue de la migraine, un problème neurologique qui concerne 15% de la population française, touchant majoritairement les femmes (deux à trois fois plus que les hommes).
Comment reconnaître une migraine ?
Si les sensations peuvent être plus ou moins similaires, une migraine est bien différente d’une céphalée de tension ou d’un mal de tête. Les migraines sont souvent causées par des contraintes de s’isoler le temps de la crise, mais aussi parfois lorsque la migraine se prépare. En effet, elle est souvent précédée de signes annonciateurs tels qu'une sensation de faim, des troubles de l’humeur, des troubles sensitifs appelés “aura” qui se caractérisent par une vision brouillée, des difficultés d’élocution, une ouïe altérée, une sensation de fourmillements.
Le stresse peut aussi être à l'origine d'une migraine^ un changement de rythme, des variations hormonales, un environnement agressif (son, bruit, fortes odeurs),une grande fatigue, du surmenage, la météo, la consommation de certains aliments et/ou excitants (chocolat, alcool, fromages, café, charcuterie…). Pour le moment aucun traitement curatif efficace pour soigner la maladie sur le long terme.