L’assurance est donnée par le président d’Amnesty International/Sénégal, Amadou Diallo.
Les crimes commis lors des émeutes pour la libération de Ousmane Sonko ne resteront pas impunis.
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« Si d’ici décembre rien n’est fait, on va saisir les juridictions internationales », a-t-il déclaré, dans Les Echos. Amnesty n’exclut pas de saisir la CPI.
« On a peu agité la question de la CPI (Cour pénale internationale) mais là également, on y réfléchit. Mais tout dépend de comment l’État va réagir. »
Toutefois, Diallo déplore l’attitude des parents des victimes qui « enterrent » très vite leur mort sans autopsie. Et cela, dit-il, affaiblit le dossier.