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Un militant se réclamant du Pastef déchire la photo du Président de la République Diomaye Faye

Une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux montre un homme se réclamant du Pastef déchirant le portrait du président Diomaye Faye.

La vidéo devenue virale et publiée ce mercredi a provoqué un vif émoi sur les réseaux sociaux. On y voit un homme, présenté comme un sympathisant du Pastef, déchirer la photo du président Bassirou Diomaye Faye tout en proférant des insultes à son encontre. Son identité n’a pas encore été révélée, mais son geste alimente une polémique nationale.

Un militant se réclamant du Pastef déchire la photo du Président de la République  Diomaye Faye

Selon les commentaires largement relayés en ligne, l’individu exprimerait son mécontentement face aux tensions perçues entre le chef de l’État et son Premier ministre, Ousmane Sonko. Dans sa vidéo, il accuse Diomaye Faye d’avoir « trahi » son allié politique, évoquant notamment la récente nomination d’Aminata Touré en lieu et place de Aïda Mbodj, un choix qui aurait contrarié certaines bases du parti. Le comportement jugé irrespectueux du militant a suscité une vague de réactions. De nombreux internautes ont dénoncé un acte « grave » et « irrespectueux » à l’égard des institutions de la République.

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Un militant se réclamant du Pastef déchire la photo du Président de la République  Diomaye Faye
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Senegal Société
2025-11-27T17:36:43+00:00
Un individu de nationalité guinéenne, qui se faisait passer pour médecin et consultait à domicile dans plusieurs quartiers de Dakar, a été arrêté par le commissariat de Grand-Yoff. Il détenait du matériel médical, des documents officiels vierges et divers effets compromettants.

LIRE AUSSI : https://www.pulse.sn/articles/questions-dactualite-lopposition-boycotte-encore-ousmane-sonko-2025112710051970099

Certains appellent même à l’ouverture de poursuites judiciaires contre l’auteur de la vidéo, estimant que « le respect dû aux symboles de l’État ne doit souffrir d’aucune exception ». Si les autorités n’ont pour l’instant fait aucune déclaration , le débat enfle sur la nécessité de sanctionner de tels comportements.

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