Face au danger, a-t-il assuré, "les autorités sont en train de prendre des mesures allant dans le sens d’annihiler ce phénomène." Par ailleurs, s’est-il empressé d’ajouter : "il faut que la population aussi s’y mette. Parce qu’il faut qu’il y ait une prise de conscience des cyclomotoristes de manière à diminuer ces accidents qui sont souvent mortels ou bien qui laissent des séquelles souvent irréversibles."
En 2020, plus de cent personnes sont mortes du fait des accidents de la circulation avec cyclomoteur, d’après les statistiques fournies par le chef de la Division prévention prévision planification des catastrophes naturelles, de la Brigade nationale des sapeurs-pompiers, le capitaine Kaymack Dione, sur iRadio.
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En l’état, il déplore les conséquences d’un "phénomène extrêmement important." "Parce qu’aujourd’hui, a-t-il alerté, nous constatons dans Dakar et dans certaines régions la prolifération des motos-Jakarta qui d’abord ne respectent pas les règles du code de la route et qui sont souvent à l’origine de beaucoup d’accidents souvent mortels. D’abord, un problème d’inconscience. Parce qu’il s’agit de motos extrêmement puissantes, les (conducteurs) ne prennent pas les mesures de précaution avec le port de casque ou des lunettes à utiliser et surtout l’application des règles du code de la route".