« Celui qui dit encore que la dette cachée n’existe pas doit être envoyé en prison » . Le Premier ministre a vivement fustigé ceux qui continuent de nier l’existence de cette dette : « Il y a des choses qu’on ne devrait plus accepter dans ce pays. Chaque jour, des personnes déclarent que la dette cachée n’existe pas. Celui qui le redit doit être envoyé en prison », a-t-il lancé sous les acclamations de la foule.
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Ousmane Sonko a rappelé qu’il avait déjà tiré la sonnette d’alarme sur ce dossier depuis l’année dernière, avant d’être accusé de manipulation politique. Des institutions internationales citées en appui Le leader de Pastef affirme que plusieurs institutions internationales ont, depuis, confirmé l’existence de cette dette : « La Cour des comptes, le FMI, la Banque mondiale et la BCEAO ont tous reconnu la réalité de cette dette cachée. Des documents officiels l’attestent », a-t-il insisté. Selon lui, cette situation témoigne d’une mauvaise gouvernance financière qui, dit-il, pèse lourdement sur les finances publiques et compromet la transparence économique du pays.
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Fidèle à son ton incisif, Ousmane Sonko a réaffirmé sa volonté de rompre avec les pratiques du passé, tout en appelant à une « nouvelle ère de responsabilité » dans la gestion de l’État.


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