En effet les enquêteurs ont établi qu’aucun agent, du personnel de garde n’était présent à l’unité néonatale, au moment du déclenchement de l’incendie qui a coïncidé avec l’heure à laquelle devait arriver la relève. Si le personnel était présent, la vie des bébés pouvait être sauvée, conclut l’enquête. En plus, il n’y avait aucun dispositif de surveillance, permettant, à au personnel de garde personnel de savoir ce qui se passait dans cette salle. L’alarme-incendie était aussi défaillant.
Le responsable de la mort des bébés morts calcinés au service de pédiatrie de l’hôpital de Linguère est tout désigné. L’enquête de la gendarmerie accable le personnel de garde.