Le président des lutteurs en activité n’est pas d’accord sur la sanction infligée aux lutteurs par le Cng. Une décision prise après la destruction de 213 sièges des gradins à l’Arène nationale. Pour Gris Bordeaux, il fallait «sanctionner les écuries et les fans. Les lutteurs n’ont rien à voir dans ces scènes de violence. Un lutteur ne peut pas contrôler ses supporters. Ils ont rempli leur contrat», a-t-il martelé.
Pour la tête de file de l'écurie Fass, le fouet devrait s'abattre ailleurs que sur les lutteurs.
Recommended articles
Selon le chef de file de l’écurie Fass, «ce sont des supporters en furie qui ont arraché et projeté des chaises sur la piste».
«Il fallait au préalable entendre les lutteurs et leurs managers, comme le stipule l’article 14 du règlement du Cng.»
Les cinq lutteurs concernés, à savoir Mamadou Sèye dit Boy Diop, Adama Dione fils Lansané, Moustapha Thioubane Thiate Limousine, Cheikh Ndiaye Super Diamono et Modou Diop Nguel Koki ont écopé d’une suspension de deux ans dont un avec sursis.